Les courriers administratifs, c'est pas pour rien !!!

Les talons de la vieille raisonnaient dans la mairie. Il n'y avait personne d'autre pour le moment, mais elle, elle était là. Son chignon impeccable, sa robe en velours et ses collants blanc opaque. Tout était irréprochable, sauf ses goûts.
Il était à peine huit-heure trente et le concierge venait de passer la serrure dans la porte principale. Elle aurait put le remplacer. Toujours là avant lui et toujours là après.
Sons sac en crocodile s'écrasa sur la chaise de l'accueil avec délicatesse. Elle en sortit une loupe, des clefs et une photo de son fils, qu'elle posa immédiatement sur son bureau. Bureau habituel, qu'elle chérissait depuis son arrivée il y a quarante ans.
Puis elle vit.

- Gérard !

Le concierge, avec ses vieilles chaussures et sa mine dépressive, accourut immédiatement.

- Mme Dutronc, un problème ?
- Je vous l'ai dit cent fois c'est mademoiselle maintenant. Et regardez-moi ça.

Il s'approcha.

- De quoi mademoiselle ?
- ça.

Elle pointait du doigt un post-it collé derrière elle, sur un panneau.

- C'est, une note mademoiselle.
- Et qui l'à écrite ?
- Wen... l'ancienne secrétaire.
- Je vous ai déjà dit cent fois que je ne veux voir aucune trace de son passage ici.
- Mais cette note est peut-être importante.
- Je m'en fiche, jetez-là.
- Entendu.

Il s’exécuta puis partit. Elle, posa son manteau sur sa chaise, s'assura que tout était bien comme elle l'avait laissé hier soir puis se scandalisa, de savoir qu'elle avait retravaillé dans ce sanctuaire administratif avec une note de cette pétasse derrière elle. Elle sortit un dossier bien rangé puis le lut, jusqu'à ce que le concierge ne revienne.

- Je peux ?
- C'est l'heure non ? Allez.

Il avança et, alors que l'horloge venait tout juste d'indiquer neuf heures du matin, ouvrit en grand la porte principale en bois de la Mairie. Des gens attendaient déjà dehors. Elle regarda la populasse s’engouffrer dans ce bâtiment sacré :

- Au travail.

Les courriers administratifs,

c'est pas pour rien !!!

Gaëlle Dutronc & Zeus

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a veille, Harry avais laissé sa fille en compagnie du maire de cette petite ville. Il avait confiance, il savait que ça ne pouvait que se passer correctement. En espérant que ça ne dérape pas. Il le savait très bien qu’une relation ambigüe entre sa fille et le presque inconnu qu’il avait ramené qu’il avait si gentiment invité chez eux. On verra bien ce que l’avenir lui réserve mais bon… Il se pourrait qu’il le regrette à l’avenir… Je dis ça je dis rien ! « Alors tu vas te taire narrateur et raconter qu’est ce que je suis entrain de faire parce que tu racontes bien des bêtises ! » me disputa le monsieur dont je suis censé faire le récit de sa vie. Pour revenir à nos mouton, où plutôt à notre dieu préféré, maître de l’Olympe ! Là vous vous demandez si je n’en fais pas un petit peu trop, mais si on le caresse dans le sens des poils de sa barbe ça devrait passer. Je vais donc tout de suite passer à la partie romancé de mon job ! « Il en serait temps ! »

arry gara sa Harley Davidson devant la mairie, une fois n’est pas coutume, son toutou ne l’avait pas suivit. Il l’avait laissé au manoir avec Wendy. Il allait dans un lieu public mais intérieur. Il ne se voyait pas se pointé avec son gros chien en disant qu’il venait pour signé des papiers. En effet la poste dans ce pays est beaucoup trop longue ! C’était beaucoup plus rapide de demandé à Hermès qu’il nous transmette des messages plutôt que passer par le système français. En effet, l’américain avait demandé à lui faire parvenir ses papiers de domiciliation et de recensement pour que tout soit parfaitement en règles et qu’il n’y ait pas de problème avec la législation et qu’il ne se fasse surtout pas remarquer par les services français. Il rangea sont cuir pour être entièrement habillé de son imper beige. Il poussa la porte de la mairie. Pour la première fois, il découvrit l’intérieur d’un bâtiment de l’administration. Très beau et aéré. Il vit une dame d’un certain âge. Ridée et les cheveux blancs caractéristiques de son existence ! Il s’avança vers le bureau constituant l’accueil.

- Bonjour ! Vous êtes secrétaire ? J’aimerais obtenir les formulaires de domiciliation et de recensement pour me mettre à jour sur le territoire français. C’est possible ?

Toujours l’œil vif et attrayant, il observait la dame qui le recevait. « Il n’y a pas que des belle créatures sur Terre » se disait-il… « Tu mens ce n’est pas vrai ! Arrête de faire des hyperboles ! J’ai simplement pensé qu’elle n’était pas à mon goût ! » me précisa le monsieur. Mais après si je ne fais pas d’image on va me renvoyer de mon travail de narrateur ! La littérature c’est bien ça non !? Des figures de style pour imagé les situations !

Zeus ~ Harry Fair.

[Au fait, juste comme ça, c'est pas Hermès qui livre le courrier normalement ?? C'est le dieu messager non? Pour moi en fait les choses étaient plutôt comme ça... mais il y à peut-être un truc que je ne connais pas hein... je demande ça juste comme ça hein.]

Un homme, assez grand, se pointa devant son bureau.
Elle releva la tête et l'observa de ses yeux bleus antipathiques. (oui oui, des yeux antipathiques XD) Cet homme, devait avoir grillé une ou deux personnes tout au plus, qui attendaient assit plus loin. Mais cet individu n'était pas tout jeune, et fut rapidement excusé par la secrétaire.

- Bonjour ! Vous êtes secrétaire ? J’aimerais obtenir les formulaires de domiciliation et de recensement pour me mettre à jour sur le territoire français. C’est possible ?

Elle avait arrêté de taper sur son clavier d'ordinateur pour tenter de réfléchir à ce qu'il venait de lui demander... Mais qui était cet homme ? Il n'avait pas de domicile fixe, et n'y connaissait visiblement rien en procédure administrative. Probablement à cause de son manque de maison quotidienne et donc d'adresse pour recevoir du courrier.
De son petit sourire forcé et non chaleureux elle répondit :

- Bonjour.

S'arrêta quelques instants. « Ben oui je suis secrétaire pourquoi ça se voit pas ? Sinon je ne serais pas là à attendre que tous les irresponsables administratifs de la ville vienne à moi ! »

- Alors... par où commencer. Ah oui ! Vous venez de doubler au moins une personne. Mais bon on va dire que ce n'est pas grave, vu qu'elle est jeune.

Elle montra d'un rapide signe de tête une jolie femme brune, assise un peu plus loin, une poussette sur sa droite.

- Et qui plus est, vous êtes sûrement, même certainement au mauvais endroit. Pour tout. Les formulaires de domiciliations aussi appelés attestation d’élection de domicile, ne se piochent pas comme ça à la Mairie. Il faut aller dans une organisation d'aide sociale prévue spécialement à cet effet. La plus proche d'ici est à une heure de trajet, en suivant la nationale. Alors bon courage.

Tout, dans ses mots, dans ses phrases et dans sa façon de parler était antipathique à souhait. Mais Gaëlle ne fait pas trop la différence entre ses sentiments et la façon dont elle doit s'exprimer avec les autres personnes.
Ce n'était pas la première fois que notre vieille bique adorée (ou détesté pour la majorité) tombait sur un véritable perdu administratif. Mais cette fois-ci sans domicile. Bien... cet homme devait avoir un travail qui l'obligeait à beaucoup voyager pour venir ici sans maison. Quel étrangeté ! En plus il devait sûrement avoir une double nationalité pour faire autant d’erreurs. Les étrangers, les paumés...que des choses que ne supporte pas mademoiselle peau de vache.

- Vous connaissez internet ? Oui,vous devez sûrement en avoir entendu parlé. Et bien vous allez sur le site de l'Insee, cherchez les statistiques de recensement sur le territoire français. Là il y aura une case formulaire, sur laquelle il faut cliquer. Une liste des villes s'affichera. Vous trouverez sans doute notre ville ou notre commune car c'est petit ici.

Elle continuait de le fixer, arborant un visage plissé et ridé ainsi qu'aigri, autant que son caractère.

- Après vous faites toute la procédure que vous trouverez sur place, je ne suis pas là pour ça... Et puis si vous n'y arrivez pas appelez le service client administratif français.

Elle fit une courte pause.

- Quel est votre nom déjà ? demanda t-elle par simple curiosité.

Les courriers administratifs,

c'est pas pour rien !!!

Gaëlle Dutronc & Zeus

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[Ah oui désolé ! (la bourde !) du coup j’ai éditer mon erreur ! On voit à quel point les cours de latin m’intéressait Wink Et comment tu sais pour toutes ses informations sur l’administration française !? x)]

uand Harry était rentré dans la mairie, il s’était directement adressé à la vieille secrétaire qui pianotait sur son ordinateur en soit disant doublant une brunette. En même temps, pourquoi la jeune maman ne s’était pas manifestée une fois que la secrétaire avait été libérée ? Apparemment, cette dernière préféra s’occuper du cas du journaliste car il était avait un peu plus d’âge. « Je dois le prendre comment ? Je suis un vieillard c’est ça !? » se dit-il. Mais la madame s’était tout de même gentiment prédisposée à l’aider. Elle répondit à sa question par une longue tirade quelque fois entre coupée par des blancs. Elle avait le ton froid, pas vraiment agréable voir même carrément méprisant. Très calme et réfléchis l’américain ne bronchait pas. Il se contentait de sourire et de prendre des notes à propos de tout ce qu’il devait pour être officiellement résident Français. Son plan était parfaitement ficelé pour dissimulé sa véritable identité. Il allait devoir chevaucher sa moto une fois de plus pour obtenir des papiers ! Apparemment le système du territoire Français est bien compliqué mais il allait s’en sortir. Il croisait les doigts pour qu’on ne l’oblige pas à aller se balade à de nombres destinations aux alentours ! La vieille dame lui demanda son nom.

-Harry Fair.

Il avait répondu avait beaucoup de tact. Il s’était entrainé de manière à pouvoir répondre le plus naturellement aux questions concernant sa nouvelle identité. Il s’était quand même adressé à la jeune femme qu’il avait doublée sans le faire exprès. Il s’excusa et parla de la chose qui fait le plus parler la gent féminine : leurs enfants. Il regarda dans la poussette. Un beau petit garçon brun avec les yeux clairs regardait Harry avec des airs ébahis devant le visage d’un homme mûr. Très poliment, il interrogea la mère sur le prénom de son fils, sur lequel elle répondit tout aussi gentiment avant de le questionner à son tour à propos de ses enfants. Il lui dit alors qu’en effet il avait une fille. Dans sa tête il n’en a pas une, mais il a beaucoup d’enfants aux quatre coins de la planète mais aussi aux quatre coins de l’Olympe. En effet, il y a une grande différence entre sa vie de dieux et sa vie d’humain. Malgré cela, il se sentait bien dans sa petite vie.

Zeus ~ Harry Fair.

[En fait je me suis renseignée x) ben oui tu demandais des trucs je savais pas ce que c'était alors je me suis renseignée pour que ma secrétaire soit à minima réaliste...]

Elle lâcha son stylo. Harry Fair... Harry Fair ?! Non ce n'était pas possible, ils la hantaient partout ou quoi ???
Elle sera le poing tentant de dominer sa colère. Après tout il n'avait rien fait. Juste demandé des papiers administratifs pas au bon endroit. Et puis qui sait peut-être n'avait-il aucun lien avec l'affreuse fille aux cheveux roses.

- Vous avez une quelconque relation avec Wendy ?

Sa voix était calme mais démontrait certainement un peu de nervosité.
Elle baissa les yeux sur sa carte. Elle était tellement détaillé que s'en était presque une carte IGN. Chaque route, chaque chemin, chaque rond-point y était indiqué sur plusieurs kilomètres aux alentours. Si l'on regardait de plus près elle avait indiqué les distances, les limitations de vitesse, les recoin à éviter. C'était presque s'il n'y avait pas indiqué les passages piétons où ralentir.
Elle récupéra son plume rose et continua de dessiner.
Elle n'attendais que la réponse de l'homme en face d'elle. S'il avait vraiment un lien avec ELLE, que ferait Gaëlle ? L'étriper pour se défouler ? Ou contenir sa colère dans elle-même ?

Elle leva les yeux vers lui quelques instants puis retourna sur sa carte trop détaillée.

Depuis qu'elle était revenue, elle n'attendait qu'une chose, pouvoir attaquer Wendy en pleine face. Mais elle avait beau l'avoir menacée, il fallait être réaliste, elle ne pourrait jamais appeler la police sans aucune preuve concrète. Sur le moment au bar elle s'était emballée, mais n'y avais jamais vraiment compté.
Maintenant, si cet homme s'avérait avoir un lien de famille avec cette pétas*e, cela signifiait aussi qu'elle avait un point faible. Quelque chose où elle pouvait s'attaquer. Quelque chose qui lui ferait mal.

Une idée lui vint soudain.
Alors son stylo plume glissa plus que prévu, dessinant un rond point inexistant, puis traçant une route en travaux, et créant un itinéraire beaucoup plus long et invisible en réalité que prévu. L'encre glissait naturellement sur le papier blanc quelque peu rugueux de la feuille de papier. Jamais cet homme ne trouverait sa route. Il allait se perdre dans la cambrousse, au mieux tomber en panne d’essence là où il n'y à rien. Au pire réussir tant bien que mal à revenir au village.
Ce n'était qu'un début mais ça devrait quand même faire l'affaire.

Elle espérait ne pas sourire face à cette ambition monstrueuse et ne pas se faire démasquée. De toutes manière son visage resterais aussi antipathique que d'habitude.

Et si jamais il n'était personne, du moins pas quelqu'un d'utile à son terrible projet de vengeance qui se construisait petit à petit dans sa tête tel un puzzle, elle n'aurait qu'a lui dire d'acheter une carte de la région et remballer sa fausse et menteuse carte dessinée...

Les courriers administratifs,

c'est pas pour rien !!!

Gaëlle Dutronc & Zeus

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n réalité, Harry ne c’était pas déplacé pour conclure à une discussion sur sa vie privé. Son but de base était de récupérer ses papiers vite fait, bien fait ! Mais bon apparemment il n’était pas au bon endroit. Son personnage était vraiment crédible en immigré ne connaissant pas l’administration française alors que bien évidemment, Zeus, du haut de ses milliers d’années à observé le monde, il savait comment ça fonctionnait. Alors quand la secrétaire de la mairie lui demanda s’il avait des quelconques relations avec Wendy, il se retrouva quelque interrogé. Ils ont le même nom de famille… Ce qui correspondrait à un lien presque certain même s’il a déjà observé des personnes avec le même nom mais qui ne se connaissaient pas. Après dans les arrières aïeux on ne peut pas savoir. Il regardait le visage de la vieille dame dont les rides rendait sont visage automatiquement mal-aimable. En même temps il y avait moyen de se poser la question si ce n’était qu’elle arrivait à un certain âge ou si c’était simplement qu’elle ne faisait rien pour se rendre agréable. Bref ce n’était pas le genre de demoiselle que le dieux aimait voir dans ce genre de profession publique. Mais ça doit être ça le charme de ce pays… « Mais qu’est ce que tu peux raconter comme c*nneries sérieusement narrateur ! Arrête de raconter des trucs faux, et décrit plutôt ce que je fais ! » me dit le maitre de l’Olympe déguisé sous ses traits humains.

- Oui je suis son père pourquoi cela ?

[Désolé pour le petit post mais faut aller vite et je suis quelque peu en panne d’inspiration là Sad ]

Zeus ~ Harry Fair.

Les courriers administratifs,
c'est pas pour rien.

pv : Harry Fair

-Oui je suis son père pourquoi cela ?

Alors elle ne s'était pas trompée. C'était bien un memebre de sa famille qui se trouvait face à elle. Cependant, jamais elle n'avait entendu parlé que s famille se trouvait ici aussi. Ni auprès du maire, ni auprès de qui que ce soit qu'elle aurait croisé un jour ou d'un employé de la Mairie. Il fallait qu'elle pense à faire le tour des personnes qui l'entouraient au travail afin d'en savoir un peu plus...
Elle fit un sourire forcé mais très rare chez elle afin de masquer son envie subite de meurtre.

- Oh mais je m'interrogeais c'est tout. Vous lui passerez le bonjour de ma part d'accord ?

Elle observa ses mains. Elle tenait fermement le stylo plume rose des mains. ça y était, la carte trafiquée était finie. Et cette fois-ci elle était bien décidée à la donner à cet homme. Elle se sentait quelque peu coupable d'une telle action, car il n'avait rien de particulièrement reprochable (outre le fait d'avoir mit au monde une sale gamine égocentrique...). Mais à la guerre comme à la guerre, il valait mieux attaquer sur toutles fronts et avoir une longueur d'avance, plutôt que de se faire prendre par surprise par l'ennemi.

- Tenez, voici la carte. Voyez, c'est ici qu'il faut aller récupérer les papiers que vous cherchez. Ce n'est pas très loin en voiture ne vous inquiétez pas.

Elle continuait de sourire faussement.

- J’espère que vous vous plairez dans cette ville monsieur Fair.

[Si tu veux, tu peux quitter le rp. En même temps je vois pas ce qu'ils pourraient dire d'autre...]

Les courriers administratifs,

c'est pas pour rien !!!

Gaëlle Dutronc & Zeus

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égèrement déconcerter par les expressions du corps et du visage de la vieille dame avec le manque de coordination dans ces paroles, Zeus ne savait pas vraiment comment la considérer. Très réfléchis, il préférait se comporter poliment comme toujours. Il hocha la tête devant les salutations adressées à Wendy. Puis sa vieille main ridée tels des pruneaux lui tendit une feuille avec un plan. Il le regarda avec attention en essayant de se repéré correctement. De toute manière, comme elle l’a si bien dit elle-même, internet existe donc au pire il ira chercher l’adresse pour le rentrer dans le GPS de son Iphone. Il rangea le papier avec attention dans son porte feuille. Ensuite, la dame lui souhaita de se plaire au sein du petit village Français.

- Merci bien madame. Je saurais à qui m’adresser à présent. Bonne journée.

Il se retourna et s’adressa à la jeune maman qui attendait son tour avec son bébé. Le journaliste s’excusa auprès d’elle pour l’attente et le dérangement. Cette dernière lui répondit par un simple « Pas de problème » avec un très beau sourire. Narrateur que je suis, peux très facilement dire que le maitre suprême de l’Olympe se verrait ravie de faire quelque chose avec cette si jolie plante. « Mais arrête de raconter n’importe quoi !!!!!! Tu veux vraiment une pluie d’éclair dur ta tête ! » me dit-il avec un certain agacement palpable dans sa voix. Il sorti de la mairie, monta sur sa Harley Davidson et se dirigea vers le manoir.

//Zeus quitte le RP//

Zeus ~ Harry Fair.

Les courriers administratifs,
c'est pas pour rien.

pv : Harry Fair

Et comme tous les clients normaux, il partit, emportant la carte trafiquée.

Maintenant tentez d'imaginer Gaëlle qui attrape son bureau et qui le lance en l'air avec une force surnaturelle. Dans un vol plané décollent alors les stylos, l'ordinateur, le clavier, les dossiers, la souris et les papiers de tous genres qui flottent au ralentit dans les airs et la vieille qui hurle de rage juste derrière, tandis que les quelques personnes qui attendent s'enfuient sous une pluie d'objets et de feuilles. Les bébés pleurent et les mamans crient, tandis que le hurlement diabolique de la peau de vache raisonne à des centaines de kilomètres à la ronde. Les employé s'en vont et partent n'importe où, se réfugier de la colère du diable en personne.
S'écrasent alors tous les objets volants. Dans un fracas terrible se brisent les appareils électroniques et se cassent les stylos, déversant sur le sol en parquet de la Mairie.
Le silence retombe soudain. Ici, plus personne. Juste des portes battantes et des cris venant de l’extérieur. Elle, montre ses dents pointues et rigole plus que méchamment, d'une manière diabolique. Et puis le sol se met à tremblé, ébranlé par ce bruit qui ferait souffrir des oreilles humaines. Il vibre si fort que le tremblement de terre force 9 sur l'échelle de Richter se déclare sur les écrans des sismologues. Du plus profond de la terre pousse alors une colline qui prend racine sous les pieds de Gaëlle. Elle continue de s'esclaffer, tandis qu'elle est emportée en l'air par cette motte de terre grandissante. Ses vêtements se métamorphoses et deviennent sombre. Sa jupe se rallonge, ainsi que ses manches. De ses épaules démarrent alors une cape noire qui pourrait l'envelopper. Ses ongles grandissent, se taille pour créer ceux d'un monstre.
La mairie en bas est ébranlée, traversée par une butte de terre de cents mètres de haut.
Son doigt crochu se dirige alors vers Harry, quittant la mairie l'air de rien, le papier fatidique en main.

« Ah ah ah ! Sale mortel, père de démon ! Perds toi ! Perds-toi au plus profond des champs et des bois, que jamais personne ne te revoie ! Va ! Et que jamais tu ne retrouves ton chemin ! »

C'est comme si le feu bouillait derrière elle. La lumière rouge et brûlante l'englobant de toute part, tel la lave bouillante et carbonisante d'un volcan en ébullition.

De sa hauteur elle voyait tout. Elle apercevait les limites de la ville ainsi que l'hôpital et les routes qui en partait. Elle pouvait distinguer les voitures, l'académie, les restaurants les gens, dans les moindres détail, sa vision décuplée par sa métamorphose.
Et là, au milieu de tant d'autres personnes, elle regarde et vit sa cible. Les cheveux roses volant au vent, l'air agréable et souriante, l'incroyable Wendy au visage si parfait.

Les yeux pleins de visions de meurtre la diablesse, s'écrie alors d'une voix terrifiante qui raisonne jusqu'à dieu :

« A nous deux Sorcière ! »

Retour en arrière, vitesse accélérée :
La colline retombe et Gaëlle redevient alors la personne qu'elle est de l'exterieur. Chaque outil de travail de la vieille se remet sur le bureau qui se repose à sa place et elle, se rassie sur sa chaise. Toutes les personnes fuyantesnt marchent en arrière, et se remettent à leur place, revennant à leur occupation originale.
Le bruit courant et silencieux revient ; les machines informatique, la toux des malades, les pas des employés...etc.

Elle regarde autour d'elle et dans un sourire malsain tape sur son ordinateur comme habituellement :

"L'heure de la vengeance à sonné."

// fin du rp //

» Voilà rien que pour toi
» Victorica Jonhson [Enfin fini après avoir cherché le moyen que rien du post ne s'efface! XD]
» [T] Rp (oui j'avais pas d'inspis pour le titre XD)
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