Sujet: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Mar 26 Nov - 21:23
Gwenaëlle Pomfresh
Nom: Pomfresh Prénom: Gwenaëlle, mais j'ai l'habitude d'être appelée Gwen. Age: 24 ans Pays d’origine: Argentine, puis états-unis (Californie) Métier: Infirmière Etudes: bac + 7 années de médecine Situation familiale: Célibataire Nombre d’enfant: Aucun Nom et prénom des parents: Jennifer Danèas Pomfresh, John Pomfresh Situation financière: Difficile de remonter la pente, mais je ne vis pas à la rue. Animal de compagnie: Deux furets Sexualité:Hétérosexuelle
Comment défieriez-vous votre caractère ?Je ne suis pas particulièrement démonstrative. Cacher mes émotions a toujours été le mode de vie enseigné par ma mère, mais depuis mes 11 ans, j'ai essayé de débarrasser mon visage de cette indifférence qui colle à ma peau. J'en ai tout de même gardé une partie. J'aime chanter, mais certainement pas en public. Être le centre de l'attention générale ne me plaît pas vraiment, mais j'aime que les autres se sentent redevables envers moi. C'est d'ailleurs pourquoi j'ai décidé d'être infirmière. Par ailleurs, j'hésite souvent avant de m'attacher à quelqu'un. Trop de souvenirs m'en empêchent. Mais j'ai beaucoup de mal à me séparer de ceux qui me sont chers... Je suis rarement rancunière mais je sais l'être. Méfiez-vous. Autre chose. Je vous en fait la confidence, merci de ne pas aller le crier sur tous les toits. Je ne sais pourquoi, ni comment c'est possible et je n'ai jamais rencontré quelqu'un ayant pareil don... Si l'on peut appeler cela ainsi. Disons plutôt que c'est une faculté inhabituelle. Je suis empathe, c'est-à-dire que je ressens les sentiments éprouvés par les gens alentours, parfois même avec plus d'intensité que l'auteur du sentiment lui-même. Seuls très peu de gens peuvent échapper à mon... « acuité sentimentale ». J'ai beau avoir essayer de contrôler cela, rien à faire: depuis mon plus jeune âge, je reçois de plein fouet les émotions qui se dégagent autour de moi. C'est aussi pour cela que je redoute la foule et que j'ai tendance à masquer les expressions de mon visage...
Quel est votre style vestimentaire ? Oh ! Je vous en parle très volontiers. J'aime m'habiller de vêtements dénudés, hélas dans ce pays froid, je n'en ai pas trop l'occasion ! Les bustiers et débardeurs me rappellent mon pays natal, l'Argentine. Là-bas, tout le monde se prélassait en tuniques légères et bermudas. Dès que je le peux, je m'habille donc de vêtements cours, non pas par volonté d'attirer des regards mâles mais parce que je m'y sens mieux que dans des pulls en laine. Je porte des couleurs claires de préférence, tout en évitant le vif... Le bleu clair est la couleur qui, je trouve, me sied le mieux; je m'habille donc en conséquence, tout en veillant à varier les plaisirs pour éviter la lassitude: j'aime aussi le rose pâle, l'argenté et le blanc...
Comment définiriez-vous votre physique ? Ma peau est hâlée, et même foncée. Métis depuis toujours, j'ai des cheveux noirs jais bouclés qui tombent jusqu'au bas de mon dos. J'ai de grands yeux de biches, bruns tirant sur le noir, qui, à défaut du reste de mon visage, expriment ce que je ressens (ou ce que ressentent les autres) de façon prenante pour qui prend soin de les regarder. Ne dit-on pas après tout que les yeux sont les miroirs de l'âme...? Mes lèvres, accordées à mon teint mat, sont plus foncées que les vôtres, petits êtres pâles ! Charnues sans être pulpeuses, elle laisseront peut-être se montrer les dents blanches qui éblouissent. Il vous suffit d'être habile... et un peu suicidaire. Je suis d'une taille moyenne, peut-être un peu plus grande du haut de mes 1,73 mètres. De quoi vous toiser de haut en bas. Mes formes de femme sont bien là, d'une taille raisonnable. Je ne suis ni blonde, ni silliconnée, ni stupide, ni accro au téléphone. Mince sans être anorexique, un petit piercing orne mon nombril, souvenir d'un marché en Argentine où j'ai rencontré... Oh, et puis il y a un paragraphe réservé pour ça. Vous n'avez qu'à lire plus bas.
Comment choisissez-vous vos amis ? C'est une question tout-à-fait pertinente. Vous n'auriez pas dans l'idée de me manipuler, vous ? Eh bien, je suis assez difficile à approcher, alors disons que je choisis ceux qui sont assez persévérants pour rester auprès de moi malgré la distance que je mets entre chaque personne et moi. Tout dépend également de ce qu'ils ressentent. Étant donné que quelqu'un d'optimiste me remonterait le moral sans même le vouloir, j'ai une légère préférence pour les personnes heureuses... Même si pour rien au monde je ne délaisserais des amis en peine. Quoiqu'il en soit, sachez que j'ai un mauvais préavis sur les femmes au corps magnifiquement sculpté, au tour de poitrine exorbitant et aux jambes comme deux bâtons de glace. Surtout si elles se mettent en valeur. Elles me font l'effet de femmes superficielles et encombrantes. Je n'aime pas non plus les gens fermés d'esprits... Cela est certainement un peu paradoxal, me direz-vous, mais je n'aime pas que l'on me considère au premier regard. Même si c'est ce que je fais le plus souvent, vous n'avez pas votre mot à dire: les stéréotypes, c'est mal. Sauf si ça vient de moi.
Comment voyez-vous votre futur ? Ce n'est pas comme si je pouvais vous répondre « blanc » ou « noir ». Nous ne parlons pas de la couleur de mes ongles, je vous signale. J'espère rester infirmière car soulager les autres, malgré les apparences, est quelque chose que j'aime faire; c'est ce en quoi je vois ma vocation. Vous n'imaginez pas combien les personnes autour de vous et moi peuvent souffrir. Moi, si. Alors je fais ce que je peux. Pour m'aider moi, mais aussi pour elles. Pour ce qui est du coup de foudre, eh bien, je ne peux qu'y croire au vu de l'amour fou que se portent mes parents malgré leurs évidentes différences sociales. Ils se tiennent toujours la main après treize ans de mariage... Cependant, je ne peux pas dire que c'est ce que j'espère trouver le plus au monde: ayant toujours été assez isolée, je ne sais pas ce que c'est que d'"aimer" au sens de l'amour vrai qui fait battre votre coeur plus vite. Que dire donc à propos de l'avenir ? Advienne que pourra !
Comment était votre enfance ? Tout dépend de ce que vous définissez par « enfance ». Pour moi, elle a duré jusqu'à ce que mes cinq premières années arrivent à terme. Après cela, je n'ai plus jamais été la même. En tout cas, cette période est encombrée de flou pour moi. Elle est cependant celle où je me suis sentie le plus sereine dans ma vie. C'est une précieuse source de souvenirs heureux que je veille à ne pas tarir par l'oubli.
Êtes-vous satisfaite de votre métier ? Oui. À vrai dire, « infirmière » n'est qu'un titre. Je trouve que cela sonne mieux dans votre langue que « docteur », qui est un mot trop cru et qui tombe dans le creux de l'oreille, mais qui définit pourtant ma profession. « Infirmière » chante beaucoup plus.
Etes-vous né dans cette ville ? Ou avez-vous déménagé ? Je viens d'Argentine, d'où je suis partie pour partir vivre avec ma mère chez mon père à mes 11 ans en Californie. Je viens exercer mon métier dans cette ville car ce n'est pas une grande agglomération qui sent la sueur, la fumée et où les émotions s'acharnent à vouloir entrer dans mon crâne.
Quelles sont les pires décisions que vous avez dû prendre ? Mutiler irréversiblement un membre de ma famille.
Quels sont vos goûts ? Et vos passions ? J'aime la chaleur, le goût amer et fort du café, les couleurs claires, les habits, mes furets. J'aime aussi la musique et ressentir le soulagement autour de moi... En revanche, je n'aime pas la disco. Je la fuis comme la peste, mon son c'est le roots que je balance même à la messe... ♫ Bref, disco + heavy metal = vade retro satana. En revanche, le reggae, le ska me passionnent et je ne pourrais vivre sans. Je n'aime pas avoir de la terre entre les orteils, surtout quand je marche pieds nus dans mon appart'. Je n'aime pas quand mes furets font tomber ma lampe de chevet. Je déteste me réveiller le matin avec les plis des draps imprimés sur la joue, avoir la peau fripée lorsque je sors du bain, sentir mon maillot de bain coller à mon corps quand je vais à la piscine. J'adore plonger ma main dans un sac de graines, faire des ricochets... Pour le reste, je suis relativement indifférente aux éléments qui m'entourent.
Quel est votre idole ? Votre modèle ? Je ne connais pas son nom, mais le visage de la personne la plus courageuse à mes yeux restera à jamais gravée dans ma mémoire...
Racontez-nous tout ! Confiez-nous votre histoire ? Très bien. Nous y voilà. Depuis le début de cet indiscret questionnaire, je n'arrête pas de faire des allusions à la réponse qui suit... Je suis née en Argentine, dans la grande ville de Córdoba. Les commerces en tout genres, malfaisants ou banals, y abondent. Le quartier qui me vit grandir jouxtait les grandes villas des riches propriétaires industriels, mais notre famille devait se contenter d'un abri en vieilles briques et d'une tente. Je vécus là-bas jusqu'à l'âge de onze ans avec ma mère et mon oncle. Mon père, riche Californien, avait rencontré ma mère lors d'une visite touristique. La foudre les avait frappés et ils s'étaient unis contre l'avis de la famille paternel. Peu après ma naissance, Papa dût retourner dans son pays pour régler les affaires et faire front au désaccord de ses parents. Il devait préparer le terrain avant de nous accueillir, si vous voulez. Cela lui prit plus longtemps que prévu. Il revint nous voir, Maman et moi, régulièrement, nous assurant chaque fois que la date de notre départ de cet endroit miséreux approchait à grands pas. Jusqu'à mes cinq ans, je vécus sans encombres. Ma capacité s'est développée autour de mes deux ans. Je découvrais alors chaque jour un nouvel aspect de la vie, une nouvelle sensation, une nouvelle couleur ou odeur. Une nouvelle émotion. Ma mère veillait sur moi avec tendresse, et je me souviendrai toujours de la douce chaleur dont m'envahissait son amour pour moi... Mon oncle, qui vivait avec nous, m'avait toujours paru un peu distant. Je ne l'aimais pas beaucoup, à vrai dire. Et ma mère se montrait toujours un peu sèche avec lui. Jusqu'au jour du drame. Je me promenais aux alentours de la tente; ma mère était partie acheter quelques provisions. Mon oncle était parti je ne sais où, comme à son habitude. Mais il revint. Quand il me croisa debout devant la tente à examiner un papillon sur une feuille, quand son regard me croisa, je sentis grandir en moi une sensation qui m'était inconnue. Elle avait cette couleur particulière, cette texture qui m'apprenait que ce n'étais pas moi qui l'éprouvais. C'était un sentiment hargneux, violent, et très désagréable. Je ne pus que plus tard mettre un nom dessus. Mon oncle était jaloux. Jaloux de moi, probablement à cause de l'attention que ma mère, sa chère sœur, me portait. Et puis vient une autre. Je ressentis celle-ci comme un torrent passant tout près de moi, mais sans m'emporter comme il l'aurait dû. Au contraire, il me faisait peur, il était trop malsain pour être appréciable. C'était le désir. C'était le désir. Mon oncle m'attrapa par le cou et me traîna sur la table qui nous servait de barbecue. Trop abasourdi par cette nouvelle sensation qui m'envahissait bien contre mon gré, je restais paralysée sans comprendre la teneur de l'acte ignoble qu'il s'apprêtait à commettre... Il commença à enlever sa tunique lorsqu'un jeune homme, presque un adolescent, surgit du coin de la rue. Lorsqu'il regarda dans notre direction, mon oncle se battait contre mon sarouel. Il courut vers moi mais mon oncle, omnubilé par mon corps, lança contre lui son bras tout en me tenant d'une poigne de fer... Réagissant à la détresse que l'inconnu éprouvait envers moi, je me redressai malgré lui d'un coup. Le besoin de violence de mon oncle faisait pression sur chacune des cellules de mon corps. Ce besoin se retourna contre lui lorsque je saisis la pince du barbecue, que je pinçai ce que j'avais en face de moi et tirai de toutes mes forces... La douleur l'obligea à se plier en deux. Les lambeaux de chairs sanguinolents souillaient le bas de son pantalon. Voila une partie de lui qui ne reviendrait jamais... Et qui ne servirait jamais à lui faire du mal. L'inconnu qui m'avait sauvée me saisit et me mis dans la tente tout en me rassurant. Lorsque ma mère arriva, elle comprit rapidement la situation et prit le soin de me mettre à l'abri... Après cela, nous ne revîmes plus jamais mon oncle. Et je ne fus plus jamais vraiment la même. Le visage de l'inconnu me sert maintenant de modèle, et je veux avoir un jour le courage de transmettre la flamme de son courage en effectuant une action de l'envergure de la sienne. Je doute y arriver un jour. À mes onze ans, ma mère et moi partîmes vivre en Californie. Mes camarades d'école étaient effrayés par mon attitude distante et, aussi étrange que ce la puisse paraître, tous me considéraient pour une dure à cuire. Ma tendance à m'isoler se forgea tout particulièrement lors de cette étape de ma vie. Seules ceux assez courageux pour se lier à moi se rendaient compte que mon prétendu caractère violent n'était qu'une rumeur. Parmi ces quelques personnes, je me fis une seule amie: Ginny. Elle seule et ma mère étaient au courant de ma particularité, que je veillais à cacher à mon entourage: les mouvements de discrimination envers "les autres" sont parfois dangereux pour ceux pris pour cible. Je passais le moins de temps possible au collège, ne m'attardant jamais parmi la foule d'élèves complexés, amoureux, furieux. Le bouillonnement émotionnel de tous ces adolescents rendaient mes crises plus fréquentes, aussi m'éloignais-je dès que j'en avais la possibilité. Je m'isolais le plus souvent dans ma chambre, passant mon temps à apprendre mes leçons pour éviter de penser. Les sentiments des autres me suffisaient, si en plus les miens étaient devenus trop encombrants, je ne m'en serais pas sortie. Ginny me soutenait beaucoup dans mes moments de dépression, qui furent durant quelques mois plus que fréquents. Jusqu'au jour où elle déménagea dans un pays étranger, à l'autre bout du monde, loin de moi. J'espère de tout mon coeur la revoir un jour... Sa gentillesse et sa flamme intérieure, toujours vive et crépitante, me manquent désormais plus que tout. Après le collège californien, je réussis mes études de médecine avec brio, m'appuyant sur les bases acquises au lycée privé californien payé de la poche de mon père. Je veillai d'ailleurs à lier une relation au moins cordiale avec lui. Il aurait probablement aimer plus, mais on ne devient pas le père d'une jeune femme comme moi du jour au lendemain. M'adapter à son mode de vie fut déjà un énorme effort de ma part, mais lui et ma mère s'aiment plus que tout. Alors j'ai siuvi le mouvement du coeur de ma mère; je lui devais au moins ça, elle qui a tant fait pour moi.... J'évite toujours de rester dans des lieux trop fréquentés à cause de violentes crises parfois causées lors de trop-pleins d'émotions, qui éprouvaient mon corps autant que mon esprit. Et me voilà chez vous, bien décidée à marquer mes empreintes dans le sol si dur de la vie...
Participez-vous déjà à un forum RPG ? Si oui, les ou lequel ? J'ai quelques comptes sur un autre forum, mais je n'y suis hélas plus vraiment active... Comment êtes-vous arrivée ici ? On m'a beaucoup parlé de ce forum... Je suis bien contente d'y être ♪ J’approuve avoir lu le règlement ?Oui. (je vous déclare mari et femme ! /sbaf)
Cette fiche à entièrement été réalisé par Elisa Vitellius, nous aimerions qu'elle ne soit pas reproduite. Attention, en affirmant que vous avez lu le règlement, vous nous autorisez à vous avertir (jusqu'à l'exclusion) si vous ne le respecter pas. Merci de votre compréhension et nous vous souhaitons de bon RP après vos trois validations.
Dernière édition par Gwenaëlle Pomfresh le Jeu 28 Nov - 22:10, édité 2 fois
Admin Bic-Bic
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Elisa Vitellius
Messages : 479 Localisation : Centre de journalisme Elisabeth Miller
Sujet: Re: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Mar 26 Nov - 22:37
Hello ^^ Bienvenue parmis nous et j'espère que tu t'y plaira.
Alors, pour moi la fiche est bonne, je ne vois pas trop de problèmes particuliers. Por moi le spolier est inutile, la scène est certe un peu violente mais bon moi ca ne me choque pas. Apres, je te remercie j'ai apris que Córdoba était une ville d'Espagne ET d'Argentine ^^ je vais me coucher moins bête Petit bémol, je suis curieuse de connaitre ta vie après ce drame, l'adolescence, les études etc...
Voilà pour moi. On va bien voir ce qu'Aphrodite a à rajouter Bonne chance pour complété et encore bienvenue ^^
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Gwenaëlle Pomfresh
Messages : 338 Localisation : Dans mes pensées...
Sujet: Re: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Mer 27 Nov - 20:33
Ravie d'avoir pu te servir à quelque chose en t'apprenant ça... Je me sens utile. :')
En tout cas, je viens de compléter la fiche ^_^ C'est mieux comme ça ? Où il faut encore rajouter quelque chose ?
Merci d'avoir eu le courage de lire cette fiche, ce qui a dû être long et fastidieux. Pardon. Je suis désolée... Je ne mérite pas de vivre T-T
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Aphrodite
Messages : 689 Age : 27 Localisation : Devant son miroir
Sujet: Re: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Mer 27 Nov - 21:58
Bien, bon, j'ai fini de lire ! (enfin !!!^^)
Alors.... *On non...., il faut que je trouve un truc à redire du texte !* [va rechercher et relire encore une fois].
Bien ! J'ai fini de lire ! XD Alors de 1 : Bravo, ta fiche est bien complète, bien jolie, bien de plein de chose à dire (pas français >>).
Ensuite de 2, j'ai envie d'être chiante. ^^ Je pense que pour que ta fiche sois parfaite de chez parfaite. Il faudrait que tu améliores la partie sur les amies, pour que tu nous expliques ce que tu n'aimes pas trop chez une personne [je vais pouvoir la manipuler ! Houra !] Pour le futur, j'étais un peu interloquée, elle ne voit que sa carrière professionnel et par le reste, n'a t-elle rien envisagé. Et pour les goûts et passion, peut être pourrais tu nous dire ce que ton personnage n'aime pas. ^^
Je te dis tout ça, mais vu que ta fiche est déjà bien faite, tu le fais si tu as envie, c'est surtout pour t'embêter. ^^ Donc tu me dis et en attendant, je te donne une autre mission, choisir un smiley qui représente ton personnage ! Sois son humeur/caractère, soit physiquement, soit autre. ^^
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Gwenaëlle Pomfresh
Messages : 338 Localisation : Dans mes pensées...
Sujet: Re: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Jeu 28 Nov - 22:19
Eh bah je suis chiante en retour en te faisant encore plus de trucs à lire maintenant... na ! En tout cas, merci pour les compliments dessus... ToT C'est trop beau ! :')
Voila le p'tit gif pour Gwen... Pas mal hein ? *autocrongratulation*
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Aphrodite
Messages : 689 Age : 27 Localisation : Devant son miroir
Sujet: Re: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Sam 30 Nov - 9:00
Bon bah c'est parfait, j'ai tout relu et c'est génial. ^^
Donc je t'ajoute ton smiley, ta couleur et tu peux venir RP avec n'importe qui quand tu veux. ^^ Voilà voilà ! J'espère que tu te plairas ici.
Admin Bic-Bic
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Elisa Vitellius
Messages : 479 Localisation : Centre de journalisme Elisabeth Miller
Sujet: Re: ~ Présentation de Gwenaëlle. ~ Sam 30 Nov - 18:25
Ta fiche est nickel ;-) Je te valide bon RP parmis nous ^^
Mar 26 Nov - 21:23
Je suis bien contente d'y être ♪
(je vous déclare mari et femme ! /sbaf)
