Première expérience journalistique...

Première expérience journalistique...
Lundi 3 mars 2014; 9h47
Centre de Journalisme Elisabeth Miller

Installée dans mon nouveau bureau spacieux, j’attendais l’arrivée de Wendy. Je l’avais appelée samedi soir pour lui fixer un rendez-vous dès dix heures. J’ai quelques questions à lui posée afin d’être persuadé que je la veux dans mon équipe mais vu ce que m’a dit Ezra je ne pense pas que ça pose problème. Effectivement, je suis particulièrement de bonne humeur aujourd’hui. Je sens que ça grouille au rez-de-chaussée. Nous travaillons actuellement sur le premier journal qui va sortir. J’ai donné à chacun sa petite mission. Une première équipe est déjà partie sur le terrain armé d’appareils photos et de bloc-notes. Il s’agit de la section «culture» quand à celle qui gère les faits divers, elle est chargée par moi-même, donc aujourd’hui mes Hommes s’occupent de se documenter. En ce moment, il y a un meurtre sur les bras des policiers, on travaille actuellement là-dessus nous aussi! Je commençais à résumer les quelques informations que j’avais déjà récolté. Quelque minute avant que l’aiguille de mon horloge indique le numéro dix, je décrochai mon téléphone pour avoir la demoiselle de l’accueille au bout du fil.

- Oui Sandrine ! Une jeune demoiselle aux cheveux rose qui devrait arriver pour un contrat, vous la faites monter directement dans mon bureau ? Son nom ? Wendy Fair. Très bien.

Je raccrochai et fixa la plaque en acier au-dessus de la porte : « Centre de journalisme Elizabeth Miller. En hommage à cette danseuse de talent. » Il y en a qui pourrait trouver ça glauque, mais personnellement, c’était essentielle de rappeler qui est à la base de ce lieux et… je le devais à Ezra en plus de cela. Je sorti quelques minutes de mon bureau, fermant la porte où trône fièrement la plaque : « Elisa Vitellius : rédactrice en chef ». Je descendis les escaliers en direction de la cuisine, mais à peine ai-je fais une dizaine de pas qu’une voix m’interpella :

- Madame Vitellius !?
- Elisa, Marvyn ! Appelez-moi Elisa ! Qu’est-ce qu’il y a ?
- Vous préférez mettre en avant le tueur ou l’investigation pour le dessin de Une ?

En effet Marvyn est l’un des rares graphistes de la rédaction. En même temps au stade où l’on est, on ne peut pas se permettre de se pavaner avec une équipe de folie !

- Comme vous le sentez Marvyn ! Eclatez-vous ! C’est votre partie, vous êtes l’artiste !

J’ai fini par réussir à atteindre la machine à café. Je me suis fait couler un cappuccino sans sucre que j’ai directement commencé à boire sans me préoccupé du fait que ça allait me bruler la langue. Je m’asseyais deux minutes à la table quand quelqu’un s’adressa à moi.

- Elisa ?
- Oui Nathalie qu’est ce qui se passe ?
- Vous en pensez quoi de ce schéma pour la première UNE ?

Je me penchai sur le travail de la jeune femme. Tout était nickel, digne d’un travail d’un prof en école de journalisme. Je lui donna mon approbation. Je fini par trouvé la motivation pour me bouger et rejoindre mon bureau. Dans les escaliers je croisai Anna avec des éditions de vieux journaux relatant des anciens assassinats similaires à celui sur lequel nous enquêtions.

- Merci Anna, je vais travailler là-dessus. J’ai pas le temps d’en discuter avec vous, mais je vous appelle dès que j’ai du temps !

Je poussa la porte de mon bureau, m’assis sur le fauteuil en face de mon bureau, mis mes lunettes sur le bout de mon nez. Je sortis mon bloc-notes A4 du tiroir et je commençai à me plonger dedans….

La jeune femme était arrivée quinze minutes avant son entretient. Il s’agissait tout de même de son entretient d’embauche avec Elisa pour enfin rentrer dans le centre de journalisme, non pas à titre de touriste, mais cette fois ci, d’employé ! Les premiers jours du mois de Mars n’étais pas encore très chaud. Wendy en avait donc profité pour mettre un sous pull noir avec une ceinture rouge à la taille et pour le pantalon, elle avait opté pour quelque chose de large, trouvant que cela allait bien avec ses bottes à talons. De plus, Wendy avait troqué sa doudoune blanche de l’hiver contre un long manteau noir qu’elle trouvait beaucoup plus chic et élégant. Seul la couleur de ses cheveux était en opposition avec la tenue assez sobre.

Wendy entra dans le centre, qui cette fois-ci regorgeait de vie ! Elle trouva rapidement l’endroit où se faire annoncer en bonne uniforme et attendit patiemment que la dame de l’accueil appelle Elisa. La conversation téléphonique ne dura pas longtemps et la dame, qui se prénommait Sandrine, du moins à en juger pas l’écriteau, demande à Wendy de monter dans le bureau d’Elisa. Mais pour être plus exacte, elle proposa à Wendy se l’accompagner jusqu’à son bureau.
Avec un petit sourire aux lèvres, Wendy fit un geste de la main et refusa l’offre de Sandrine, après tout, elle connaissait déjà le chemin. Elle avait aidé pour les travaux.

Pendant qu’elle se dirigeait vers le bureau de sa futur chef, du moins elle l’espérait, Wendy pu constater que le centre grouillait de vie ! Agrippant sa manche, la jeune demoiselle se demanda tout de même s’il y avait une petite place pour elle. Elle avait vraiment hâte de commencer l’entretient mais avait tout de même peur des questions que pourrait lui posé Elisa. Vu que les deux jeunes femmes se connaissaient déjà.

D’ailleurs, Wendy connaissait beaucoup de chose sur Elisa, elle la protégeait mais aussi car Gwen lui avait raconté quelques petits ragots. Pas bien méchant et sans grande importance, mais tombé entre de mauvaise mains, cela pouvait toujours faire des ravages où être le début de chantage. Mais, là n’est pas la question car, même si Wendy pourrait faire du chantage avec n’importe qui, elle n’était pas venue pour ça.
Non, aujourd’hui, elle était venue en tant que future employée modèle du centre de journalisme. Et c’est dans cette optique qu’elle toqua à la porte du bureau d’Elisa.

Première expérience journalistique...
Lundi 3 mars 2014; 9h54
Centre de Journalisme Elisabeth Miller

J’avais récupéré la suite de l’investigation sur le meurtre qui avait eut lieu en ville. Armé d’un Stabilo violet je faisais le trie sur ce que mes chers collègues m’avaient synthétisé. Pas assez apparemment ! C’est en poussant un soupir que j’essayais de remettre dans l’ordre la possible chronologie des faits. Bien que les policiers ne sont pas très coopératifs avec les médias. Si seulement ils savaient la réputation que l’on pourrait leur faire s’ils avaient l’envie de partagé leurs informations avec le journal de la ville. Mais bon, ils avaient choisi leurs camps. Mon carnet A4 se remplissait plutôt vite, malgré certain incompétents dans l’équipe, le résultat reste là. En même temps on ne peut pas demander à des étudiants en alternance d’avoir le même niveau de « repérage » que les vrais rédacteurs. Alors que je regardais sur le tableau d’organisation où le tableau était parfaitement dessiné et rempli à ras-bord tellement les réunions étaient nombreuses pour couvrir un maximum d’autorité sur la rédaction, quand on toqua à la porte. Je me doutais qui cela pouvait être. Je me levai et me dirigeai vers la porte pour l’ouvrir !

- Bonjour Wendy ! Comment-allez vous ? Rentrez je vous en prie.

Je m’installai sur mon fauteuil et je fis, par un digne de la main à Wendy qu’elle pouvait s’asseoir. Je savais déjà ce que j’allais faire avec elle mais par mesure d’égalité je me devais de lui faire passer un entretien. Après tout, Ezra m’avait vraiment rendu service, je me dois bien, à mon tour, de lui rendre service aussi.

-Bien alors, ici on s’appelle par nos prénoms, ça permet une meilleur coordination dans l’équipe, ensuite on se vouvoie sauf si bien sur, vous entretenez des relations amicales avec vos collègues. Il y a une réunion tout les matins minimums de 9 heures à 10 heures, voir 10 heures 30 quand l’actualité est chargée. Je vous engagerais en tant qu’apprentis, ce qui signifie que vous serez sous ma tutelle mais en fonction dans quels départements je vous enverrais, ne vous inquiétez pas, vous verrez de tout, vous aurez un responsable. Alors je ne vous cache pas que le début risque d’être compliqué, le temps que vous fassiez votre place et que vos missions deviennent un peu plus importante. Ne soyez pas surprise qu’au début votre responsable vous assigne à la photocopieuse ou la machine à café, ça arrive souvent pour les jeunes qui commencent. Le monde du journalisme est assez strict avec des règles particulières et des mentalités qui diffèrent. Travail et consciencieux et patience seront vos meilleures armes. Vous êtes mineure n’est-ce pas ?

J’avais un doute quant à son âge. J’attendais alors sa réponse pour pouvoir m’avancer sur son revenu. En même temps, il faut aussi que je la laisse parler car, la pauvre jeune fille a dû assimiler beaucoup d’information en un seul monologue de ma part. Wendy était bien habillé ce qui montre déjà un certain sérieux face à un entretien devant une connaissance. J’avais justement cette crainte. En effet, je ne pourrais accepter que sous le prétexte que nous nous connaissons en dehors de l’aspect professionnel, elle soit trop détachée et confiante. C’est aussi pour cela que j’ai commencé par le fait que dans la rédaction nous nous vouvoyons. Si Ezra disait vrai, tout devrait se passer correctement.

Le futur recrue avait toqué à la porte de la chef du centre de journalisme. Evidement, il ne s'agissait pas d'une mince affaire que de touer à cette porte car juste après ce petit bruit, et le grincement e la porte, elle cèlerait son avenir dans le journalisme de cette petite ville. Elle était assez fière d'avoir un entretient, mais savait qu'elle devait cela à Ezra. Elle soupira en y pensant, il était tellement gentil avec elle. Habillé de la meilleur manière qu'il soit pour son entretient, elle comptait bien y faire bonne impression. Au cas où, la déesse se rassura en se disant qu'elle pourrait user de ces facultés pour convaincre Elisa. Elle fonça les sourcils à cette pensée, il fallait vraiment qu'elle arrête de vouloir manipuler les gens. Elle se frotta les mains juste avant de pousser la porte pour montrer son visage à Elisa. En entrant, elle lui glissa un rapide bonjour de politesse tout en observant le nouveau bureau. Elle avait tout de même participé à la rénovation de l'entrepôt. Mais elle comprit rapidement que le fait qu'elle soir proche ou non avec Elisa ne l'aiderait pas.
Elle s'assit et vit un panneau rempli de réunion. A peine sur le terrain qu'Elisa s'était constitué une belle équipe et l'on ne pouvait pas dire qu'elle chômait. Avec son plus grand sourire, elle but les paroles de la rédactrice en chef, de temps à autre en la regardant. Elle inspecta son bureau et vit un dossier rempli de fluo et de petites notes sur les côtés. Elle ne devait pas se voiler la face, ce travail allait être particulièrement éprouvant ! De plus, comme l'affirmait Elisa, elle n'allait pas être lancé sur le terrain rapidement, au contraire, elle allait d'abord faire connaissance avec la machine à café et la photocopieuse. Ses deux nouvelles meilleures amies…
Elisa lui posa une question, alors la jeune demoiselle leva les yeux vers son visage et le scruta, elle faisait seulement ça dans le cadre d'un entretient.

-Je suis encore mineure, mais j'ai dix-sept ans bien entamé. Mes dix-huit ans approche à grand pas. Je serais bientôt majeur.

Elle fit un mince sourire à la personne qui allait bientôt devenir sa chef. Puis tout en rajustant les manches de son haut, elle cru bon de rajouter quelques mots.

-Comme vous le savez, j'ai déjà travaillé en tant que secrétaire du maire. De plus, étant petite, j'ai travaillé en tant que journaliste dans mon lycée. Enfin, comme je suis américaine, je sais aussi bien parlé français qu'anglais.

Elle venait de se faire de la publicité. Être bilingue était une bonne qualité dans le journalisme et dire que l'on avait déjà une expérience dans le monde du travail permettait d'après elle de moins côtoyer la machine à café et la photocopieuse. De ce fait, elle cru bon de rajouter ces petites informations. Du reste, Wendy pensait qu'Elisa arriverait à bien la juger.

Première expérience journalistique...

Wendy Fair/Aphrodite, Elisa Vitellius

a jeune Wendy était bien mineure. Ce qui soit disant passant est assez hors la loi par rapport à sa relation avec Ezra. Enfin bon sa vie privée ne m’importe peu dans le milieu du journalisme. En espérant juste que son père, le grand Harry Fair du New York Times ne soit pas au courant parce que ça pourrait poser problème. Et entre nous j’aimerais éviter d’embaucher quelqu’un qui est impliqué en temps que partie civile dans une enquête pour attouchement sur mineur ou encore détournement de mineure. Bon Elisa c’est bon, arrêtes de penser à la vie privée de la demoiselle, ceci ne te regarde pas ! Et puis entre nous, Ezra est quelqu’un de confiance, c’est lui qui m’a aidé à monter mon projet. Mais le Harry Fair, je ne le connais que de nom, je ne sais pas vraiment s’il est du genre à convoqué la justice pour un oui ou un non ! ELISA !!! C’est bon on arrête ! Reparlons de la rémunération de la jeune fille.

-Bien, donc Wendy vous êtes encore mineure, et si je vous engage, vous percevrez 25% du SMIC puisque mon activité se situe dans le secteur du privé soit,je sortis une calculatrice de l’un des tiroirs de mon bureau, 25 multiplié par 1 445,38 divisé par 100 égale 361,345 euros. Sachez que comme au bout de vos un an d’apprentissage vous serez majeure, donc la loi stipule que vous toucherez 49% du SMIC. Vous doublez presque votre revenu. Tout cela est une rémunération brute, donc vous devrez enlever toutes les charges en tout genre. Sinon... Je n’ai pas d’autre chose à vous stipulez... Du moins pour le moment. Si vous avez des questions n’hésitez pas. Du coup, je vais vous faire visiter les locaux.

Je me levai de ma chaise pour aller jusqu’à la porte. Je l’ouvris et laissai passer Wendy devant avec la formule de politesse « Après vous. » qui allait bien. Je savais que la jeune fille aux cheveux roses connaissait déjà les lieux car elle était venue m’aider pendant les travaux. Mais en bonne et due forme, je m’obligeai à effectuer cette visite. En sortant de mon bureau je lui présentai le premier étage. L’endroit des bureaux, là où se passe toute l’administration. De la compta jusqu’au bureau du chef ! Puis au deuxième étage je lui présentai la grande salle de réunion. Son immense table ronde au dessus duquel on voyait un grand rétroprojecteur relié par un grand réseau de fils électriques. Ce dernier arrivait au carré technique qui se trouvait sur le mur et sur lequel on branchait notre matériel informatique.

- Pour les réunions, c’est ici que ça se passe. Chaque département à sa place comme tu peux le voir. Je branche l’ordinateur portable professionnel et à tour de rôle on passe en revue l’avancement de chaque article pour que le samedi matin tout soit ok pour l’envoyer à l’imprimerie. On décide aussi de ce que l’ont va traiter dans les prochaines éditions, des rajouts que l’on peut faire en fonction de l’actualité. L’énorme tableau Velléda que tu vois là et qui est rempli de schéma est le format et prototype de la prochaine édition. Pour l’instant elle est à peu prêt lisible parce que nous ne sommes que lundi et du coup ce n’est que le premier vrai jour de rédaction. Je te conseille donc de t’armé d’un cahier d’environ 150 à 200 pages, d’un stylo, d’un crayon de papier et de stabilos pour organiser au mieux la hiérarchisation des idées. On continue ?

Nous passions à côté du local technique soit là où tout nos serveurs informatiques sont réunis bien que en journalisme nous en avions peu. Au troisième et dernier étage, nous avons une salle de « repos ». Avec jeux vidéos, coin sieste, coin « pause café » pour les personnes qui, sur leur pause du midi, ne peuvent pas rentrer chez eux.

- Malheureusement, nous n’avons pas de cafétéria alors on a aménagé ce petit coin avec 5 micro-ondes et plusieurs lavabos et distributeurs de boissons, friandises etc... Il y en a une autre plus petite au rez-de-chaussée mais elle sert juste à se préparer quelque chose et retourner travailler directement après. Ici, c’est le vrai espace pause ! Je l’ouvre entre 11h30 et 14h30. Chacun y vient comme il le souhaite sur cet horaire. Je ne mets pas de restrictions. Je veux juste que le travail et l’objectif mis le matin à la réunion soient effectués. Après, les salariés s’organisent comme ils veulent. On y fait aussi des pots pour les arrivés et départs. Vous aurez le droit au votre si je vous engage. Certaines personnes qui sont collées à la tache « lecture » pour la rubrique culture du journal viennent souvent ici, c’est plus agréable que resté assis sur sa chaise de bureau au milieu des gens stressés qui s’agitent de partout. Maintenant le niveau 0.

Je l’emmenai dans le grand openspace qui constitue la rédaction. Chaque petit coin réservé à telle ou telle rubrique. En ce lundi, beaucoup de personnes étaient sur le terrain ou faisaient de la documentation à la bibliothèque. Résultat des courses, la pièce était presque vide. Seul Marvyn et son collègue restaient pour faire les illustrations. Le département photo était aussi désert. Ils seront plus présents en fin de semaine quand il faudra éditer leurs clichés sur Photoshop. Je guidai Wendy jusqu’à la « cuisine » ou plutôt la machine à café très prisé dans la rédaction. On trouvait au centre de la salle une table sur lequel trainait des pilles de feuilles. Je ne sais pas qui a laissé un tel bordel mais si ce soir 19h c’est toujours là, je vais taper une gueulante.

- Vous voyez Wendy, ce genre de b*rdel, je le tolère. Mais quand la rédaction ferme tout doit être nickel ! Même votre bureau personnel. En tant que journaliste, l’organisation et la rigueur est important pour s’y retrouver. Donc voilà la fameuse machine à café et son confrère le distributeur de boisson. Leurs meilleurs amis « Imprimante », « Photocopieuse » et « Scan » sont là. Elles ne servent qu’aux gros tirages. Pour les petites impressions ou copies pour vos recherches, leur petite sœur 3 en 1 se trouve sur votre bureau.

Je ressorti de la petite pièce jusqu’au hall d’accueil.

-Voilà c’est ici que se termine la visite et votre entretien. Nous sommes une petite structure ce qui rend le tout plus conviviale. Du coup, en contrepartie je ne vous cache pas que le travail est plus dur et plus long. Je suis une patronne assez exigeante donc je veux que ce journal soit aussi bon que les habituels autres hebdos. Il y a 5 personnes aux infos diverses comme l’info politique, économique, société, sport et loisirs, tourisme, culture... 2 personnes aux faits divers dont moi, 2 personnes aux photos et 2 personnes aux graphismes. Vous serez donc la 10ième personne qui intégrera la rédaction. Je tiens à vous dire que votre lettre de motivation était excellente et que vos capacités en langues étrangères est très favorable à votre future carrière. J’ai une place pour vous dès demain matin. A vous de voir. Si jamais vous êtes d’accord, vous pouvez donner vos conventions à Sandrine, lire et signez le contrat devant elle. Je vous souhaite bonne continuation et peut être à demain.

Je lui serrai la main et reparti dans mon bureau

//Elisa quitte le RP/Fin du RP//

Elisa Vitellius

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