Notre monde actuel cache bien des choses, notamment l'existence de dieux et déesses grecs...

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 Will Tyler Lawson

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Rédacteurs des phénomènes paranormaux

Will Tyler Lawson
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Will Tyler Lawson

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MessageSujet: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptySam 22 Mar - 23:36

Will Tyler Lawson



   
Will Tyler Lawson Hibar10


   
Will Tyler Lawson Parti_10



   

   Nom :Lawson
   Prénom :Will (Tyler en deuxième prénom)
   Age : 24ans
   Pays d’origine : United States
   Métier : Policier
   Etudes :A arrêter ses études après le lycée
   Situation familiale : Sa famille à été tuée
   Nombre d’enfant : Aucun enfant
   Nom et prénom des parents :Natacha & Liam Lawson
   Situation financière :Assez aisée
   Animaux de compagnie : Aucun
   Sexualité:Hétéro (aucun homme n'a encore réussi à me convaincre)


   


   
Will Tyler Lawson Parti_11






   Comment défieriez-vous votre caractère ?
Les gens trouvent que j'ai un sale caractère.. Moi je trouve que je suis patient, pas chiant et à l'écoute. Bon d'accord... J'avoue. Mais c'est bien parce que sinon j'aurai pas assez de lignes : en fait j'attends juste le moment où je pourrais prendre ma revanche ; je suis pas du genre à t'embêter pour que tu ai confiance en moi ; et je t'écoute pour savoir des trucs sur toi. En fait je suis une sorte de faux-ami. Mais je sais y faire, avec ma gueule d'ange et mes bonnes répliques. Tu te livres, tu penses avoir trouver un confident, alors qu'en fait je révélerai tes secrets à la moindre occasion qui se présente si je peux en tirer quoi que ce soit.
Parce qu'en fait je suis plutôt du genre à montrer aux autres que je suis meilleure qu'eux ; par manque de confiance en soi au fond. Moi, je ne me confie que très rarement, tout ce que tu crois savoir sur moi sont des mensonges, mais toi tu n'y voit rien du tout, parfois tu prends des risques pour moi alors que je me sauve dès que tu es en danger.

Je pourrais inspirer la sécurité, le calme et l'amitié, alors que je ne suis qu'un danger, et au fond, tu le sais : c'est la première impression que tu as eu en me croisant, mais tu t'es dit que tu te trompais et tu es tombé dans le panneau. Au fond, je m'en voudrais de t'avoir menti et manipulé, mais ça tu ne le saura jamais... Moi je suis fait pour la solitude et la réflexion. Ah oui, car je réfléchi trop aussi, c'est ce qu'on dit. Je réfléchi à la manière de te manipuler, de te parler et ce que je dois te faire penser. En fait c'est moi qui te contrôle, comme sa je me soulage un peu et au final c'est moi qui fini par tomber dans mon mensonge. Si tu apprenais à regarder plus au fond, tu te rendrais compte que c'est à moi-même que je mens, que toi tu n'es qu'une image pour masquer tout ça...

   Quel est votre style vestimentaire ?
   Je garde la plupart du temps mon uniforme policier. Un uniforme assez classe, je dois dire. Il est entièrement blanc, avec des petits boutons de couleur or, couleur que l'on retrouve sur les épaulettes,aux côtés de petites étoiles blanches. Je porte aussi une casquette, composée de ces mêmes couleurs et de noir. Afin de renforcer l'effet chic je porte aussi des gants blancs. Autant vous dire que je ne passe pas inaperçu dans les rues.
Les fois où je ne suis pas en uniforme, j'opte pour une tenue noir, parfois une chemise blanche, soit un style pas très démarqué.

   Comment définiriez-vous votre physique ?
   Sans se mentir.... Plutôt pas mal non ? Bon, j'avoue : l'uniforme y est pour beaucoup. J'ai des cheveux noirs, mi-long pour un homme. Ils sont souvent ébouriffés, et me tombent devant les yeux. Mon visage est assez fin, les gens disent qu'il n'exprime que la tristesse. C'est vrai que vous me verrez rarement sourire, sauf d'un rire sarcastique.
Ensuite, ce qui intéressera les mesdemoiselles, j'ai des tablettes de chocolat. Et un peu de muscles aussi (métier oblige un minimum). Niveau taille je suis plutôt grand, et j'ai même une taille de mannequin !

   Comment choisissez-vous vos amis ?
   J'ai souvent été habitué à ne pas avoir d'ami alors... Je suppose qu'il faudrait déjà que la personne en question puisse me supporter... Et puis... Quelqu'un qui ne posera pas trop de question, ou qui ne sera pas trop collante ? En fait je n'en sais rien

   Comment voyez-vous votre future ?
   Pour le moment je n'ai qu'un objectif : retrouver celui qui a tuer ma famille. C'est la seule chose qui me motive

   Comment était votre enfance ?
   L'enfance en elle-même était superbe... J'étais heureux... J'étais l’aîné, j'avais deux soeurs et mes parents s'entendaient à merveille. Je me souviens de notre petite villa en bord de mer, nos pic-niques en bord de piscine... Nos jeux dans l'eau pendant que mes parents recevaient leurs amis. On était jamais sorti de notre pays bien-aimé, mais mes parents ont eu envie de changement et on est parti en Italie. On avait trouvé une jolie maison, et pendants les vacances on retournait aux States. On devait rester là-bas trois ans, sauf que mes parents et mes soeurs n'en sont jamais revenus...

   Etes-vous satisfait de votre métier ?
   Disons que c'est la seule chose qui m'occupe un peu, même si ce n'est pas toujours plaisant. Au moins, je peux effectuer mes recherches plus vite, plus discrètement et surtout plus efficacement.

   Etes-vous né dans cette ville ? Ou avez-vous déménagé ?
   Non je suis né aux Etats-Unis, en Floride plus précisément, et je viens juste d'arriver en France

   Quelles sont les pires décisions que vous avez dû prendre ?
   Partir en Italie, mais ce n'étais pas vraiment la mienne... Disons de retourner aux Etats-Unis; même si ça m'a fait plaisir, retourner dans notre ancienne maison m'a briser le cœur

   Quels sont vos goûts ? Et vos passions ?
   Heu... Bonne question..J'aime bien ... la solitude ? la musique ? la mer ? rien qui anime mes journées au point d'en devenir fou... mais j'ai quand même un goût suspect pour les histoires d'horreurs et fait surnaturels, des histoires vraies j'entends ! Et bien sur, la seule chose qui me fait me lever le matin ; le retrouver..

Sinon je n'aime pas grand chose... Je déteste un peu tout ce que je vois et que je fais. Je donne l'impression d'avoir toujours l'envie de me suicider, mais c'est un peu le cas... Je me lasse un peu de tout. La vie en générale me lasse, les personnes heureuses m'exaspère. J'aurai envie de leur crier que le bonheur n'est qu'une illusion, qu'il n'existe pas, qu'on croit en lui, et que, quand on s'y attend le moins... BOUM ! On se prend une grosse baffe par la vie et on perd tout, absolument tout. Mais sa, je ne leur dit pas. Car à la base on a tous les mêmes règles de jeu ; à nous de les découvrir.

   Quel est votre idole ? Votre modèle ?
   Je t'en pose des questions moi ? Disons ... Moi ? Non, sa ne marche pas ? Bon... Justin Bieber ? Dracula ? Lucifer ?


   Racontez-nous tout ! Confiez-nous votre histoire ?
  Eh bien, pour ce qui est de l'enfance, je l'ai déjà raconté plus haut.
Je reprend donc mon histoire quelques années plus tard ... Pour vous remettre dans le contexte, nous sommes en Italie, je venais d'avoir 16 ans, et je rentrais dans la maison que nous habitions depuis deux ans déjà. Heureux d'annoncer à mes parents que j'allais voir le nouveau film dans lequel jouait mon acteur préféré.  Mais dès que j'ouvrit la porte, je sentis immédiatement que quelque chose n'allait pas. L'ambiance était différente, plus pesante. Je refermais la porte doucement pour ne pas faire de bruit et me dirigea vers la cuisine lentement. Je posais mes pieds sur le sol en faisant gaffe à ne pas faire de bruit, comme si on ne devait pas me surprendre. Chaque pas m'approchait de la cuisine, et l'ambiance se tendait de plus en plus. J'étais dans le silence total, à l’affût du moindre bruit, lorsque je commençais à percevoir des voix de la cuisine. Mes deux parents ; je sentais à leur voix que ce n'était pas comme d'habitude. Un frisson me parcouru, et pourtant je n'entendait toujours pas leurs paroles. Je resta caché assez près pour les entendre sans être vu.

Ils s'engueulaient. Sa me fit d'autant bizarre qu'ils ne s'engueulaient jamais. Je cru comprendre que mon père n'était pas resté fidèle, ou autre bizarrerie du genre. Les larmes me montaient aux yeux car je sentais que c'était la fin, la fin de notre famille, la fin de notre tranquillité... En tournant légèrement les yeux, je vis ma plus petite soeur, recroquevillée sous la table, secouée de sanglots elle aussi. "Emilie !" je me glissais sous la table à ses côtés et la pris dans mes bras. "Tyler... Rien ne sera plus comme avant" sa voix douce me glaça le sang. Étais-je vraiment capable de la rassurer alors que mon petit monde s'écroulait au fur et à mesure que l'on entendait les cris percer de la cuisine ? Je me contenta de ne rien dire et de la serrer encore plus contre moi.
Elle finit par s'endormir, pas moi. Mes parents étaient toujours dans la cuisine, je les entendaient encore mais je ne comprenais plus ce qu'ils disaient. Je porta ma sœur jusque dans son lit, où elle se réveilla et me regarda de ses petits yeux bruns. "Tyler ? Tu crois que papa et maman vont divorcer ?" Il y a des questions qu'on aimerai faire comme si on ne les avaient pas entendues, auxquels on aimerait tellement avoir une réponse rassurante et vrai. Mais là, je n'avais aucune réponse. "Je ne sais pas" Et je n'en savais vraiment rien. J'étais comme perdu, je me posais aussi des milliers de questions. Va t-on retourner vivre ailleurs ? Ou bien est-ce que cela va redevenir comme avant ? Ce soir là, je n'arriva pas à dormir. Peut-être que ce n'était pas la première fois qu'ils se disputaient... Peut-être maman ne disait rien quand à l'infidélité de notre père par peur... Peut-être que jamais rien n'avait été aussi calme qu'on le pensais... Peut-être...

Le lendemain matin, je me leva plus tôt que d'habitude, pris un croissant à la cuisine et sortit de la maison avec un sac sur le dos. Personne n'était encore levé. Je n'avais pas école, et pourtant je préférais partir un peu. L'engueulade de mes parents me pesais encore, même si je n'avais rien à voir dans leurs histoires, l'idée de perdre la tranquilité que nous possédions me plombait le moral. Je marchais une vingtaine de minutes, et je finis par arriver en haut d'une falaise. Je m'assis au bord, le regard face à la mer et les cheveux secoués par le vent. Personne ne venait jamais ici, endroit jugé trop dangereux. Mais moi, je venais souvent ici, lorsque je voulais réfléchir. J'ai toujours aimé le risque. Le soleil se leva; un lever de soleil sur la mer est magnifique. Moi, je savourais mon croissant, pendant que les vagues se fracassaient sur les rochers quelques mètres sous moi. Je restai là toute la journée, à me vider l'esprit. Je restai encore après le coucher du soleil. Quand je commença à avoir froid je repartis en direction de la maison, en traînant davantage qu'à l'aller. L'obscurité ne m'empêchait pas d'avancer, je me sentais presque mieux plongé ainsi dans le noir.

Je poussai la porte d'entrée laissée ouverte et alluma la lumière du couloir qui, bizarrement était restée éteinte. "Papa ! Maman ! Je suis rentré !" Aucune réponse. Je restai debout à l'entrée, espérant voir le visage de ma mère sortir du salon pour me sourire et me dire de les rejoindres. Mais rien ne vint. Je laissais mon sac dans l'entrée et monta à l'étage, dans la chambre de mes soeurs. Laura n'était pas là, mais je reconnu Emilie qui se cachait sous sa couette. Je m'asseya à côté et retira la couette, un sourire aux lèvres. Je pensai qu'elle me sauterais au cou et me féliciterai de l'avoir trouvée, comme à chaque fois. Mais au lieu de ça je vis ses yeux noyés de larmes. Elle serrait son doudou contre elle. "Tyler... C'est bien toi ?" Sa voix montrait qu'elle était apeurée. "Qu'est-ce qu'il se passe ici ?" La peur qui commençait à me submerger me forçait à chuchoter.

Elle n'eut pas le temps de me répondre qu'un bruit se fit entendre sous nos pieds. Un objet qui tombe, ou une chose du genre. On garda le silence un moment, jusqu'à ce qu'Emilie fonde en larme subitement. Tyler... Rien ne sera plus comme avant..". Je sentais qu'il fallait que j'aille voir en bas, mais la peur immobilisait chacun de mes membres. "Emilie, où est Laura ?" Elle haussa les épaules pour me montrer qu'elle n'en savait rien. "D'accord, cache toi sous le lit et n'en sort sous aucun prétexte" Son visage sembla se briser, ce qui me fendit le coeur. Elle aussi était tiraillée par la peur. Mais que savait-elle ? Sa voix me rappela lorsque j'étais dans l'encadrement de la porte. "Tyler ? Tu va revenir me chercher ?" Je devinais ses yeux sous le lit. "Bien sur ! Je reviens rapidement, et après, tout cela sera fini" Je retourna vers elle et lui déposa un baiser sur le front. "Et après, on ira acheter une glace au chocolat, ok ?" Elle me fit signe que oui et je cru deviner un sourire sur son visage.Je n'avais aucune idée de se qui se passait en bas, mais tout me disais que ce n'était pas à prendre à la légère. Et il fallait que je retrouve Laura.

Par précaution, j'attrapa une barre en fer et descendit les escaliers le plus silencieusement possible. Seule la lumière du couloir était allumée. Je pouvais entendre mon coeur battre à toute allure. Je commença par aller dans la cuisine ; rien. Je me dirigea ensuite vers la chambre de mes parents ; rien. Puis la salle de bain ; encore rien. Mon coeur battait plus vite à chaque fois. Salle à manger.. Vide. La pièce suivante était le salon, séparé de la salle à manger par de petits fils en guise de rideaux. J'en écarta quelques un à l'aide de la barre en fer et me faufila dans le salon. La main sur l'interrupteur, je n'osais allumer. Qu'est-ce que j'allais voir ? Lorsque j'alluma la lumière, je ne le vis pas tout de suite. Mais lorsque je le vit, ma terreur fut telle que tout mon corps sembla me lâcher, mais je me mis à courir dans sa direction, et m'écroula à côté. Non, ce n'était pas possible.. Pas ici, pas comme ça...

Le corps de ma mère était couvert de sang. Je pris son visage entre mes mains, mais sa peau était déjà glacée, et je su qu'il était trop tard depuis longtemps. Ma vue se brouilla de larmes, et immédiatement je pensais que le coupable était mon père, suite à la dispute de la veille. Je me détacha de ma mère dans l'idée d'aller lui rendre la monnaie de sa pièce, mais en me levant je la vit, elle aussi. Laura. Ou plutôt ce qu'il restait dans son corps. Mes jambes lâchèrent et je m'écroula au sol. Je voulais crier, hurler mais aucun son ne sortait. Je distinguais nettement l'impact d'une balle en plein milieu de son front. Comment avait-il pu .. ? En tendant le bras j'attrapais sa main, et la serra dans ma paume. Au moins n'avait-elle pas souffert... Alors que maman... Un autre regard sur elle me montra plusieurs marques de poignard que je n'avait pas vu auparavant. A première vue, l'agresseur avait voulu s'en prendre à Laura, et ma mère l'en à empêcher, la battant sous les yeux de ma soeur, et, lorsqu'il réussit à mettre l'adulte à terre, acheva la vie de Laura d'une balle sous les yeux de ma mère, qui apparemment à continuée à être battue, avec le cadavre de sa fille s'offrant à sa vue... Quel cauchemar...

Je tenta de me relever, mais je dû m'y prendre à plusieurs fois. Je devais à mon tour achever la vie de celui que je devrais appeler "papa". Mais le sort ne devait pas en avoir fini avec moi, puisque je remarqua, dans le frêle corps de Laura, gravé sur sa chair à vif, une sorte de... Symbole. Impossible de distinguer ce qu'il représentait, mais c'était une sorte de signature de la part de l'agresseur. Le corps de ma mère portait aussi se symbole, au beau milieu de sa cuisse. Peu importe ce que les symboles montraient, je voulais me venger... Je sortis du salon, et alors que j'allais à la recherche de mon père, quelque chose me glaça l'esprit... Emilie... Je me mis à courir du plus vite que je le pouvais, grimpa les escaliers comme un fou, tout en criant le prénom de ma soeur à plein poumon. La lumière de sa chambre était encore éteinte, et je n'avais pas entendue de bruit suspect depuis le bas, mais la peur me terrassait. Pas Emilie... Non, pas elle ! Je frappa l'interrupteur avec ma barre de fer, et sauta au sol pour voir sous le lit. Mais rien. Il n'y avait plus rien. Mon coeur frappait si fort qu'il aurait pu transpercer ma poitrine à tout moment. "Emilie ?"

Aucune réponse ne vint, et je commença à tout retourner dans la pièce avec l'espoir de la retrouver. "EMILIE !" Elle était trop jeune... Qui diable est assez cruel pour faire ça ? Je la retrouvât au fond du placard, son doudou encore serré contre elle."Tyler ..." Sa voix était faible. "Tyler... J'ai... J'ai eu si peur..." Je la sortit de la et la serra contre moi. "Je t'avais promis de revenir.. Je suis la maintenant.." Je sentis un liquide chaud s'écouler contre ma paume, et je regarda immédiatement l'endroit où elle était appuyé. Au niveau de la hanche droite d'Emilie, une plaie profonde, récente. "Un monsieur est venu... Il m'a tout de suite trouvée sous le lit... Il a dit qu'il voulait voir papa.. Mais il m'a frappé avant même que je réponde, et ..." Je lui fit signe de ne rien dire de plus. Je ne savais plus quoi penser... Mais une petite voix me coupa dans mes songes. "Tyler ? Tu prendra soin de Monsieur doudou ?"

Mon sang se glaça. "Mais Emilie... Tu va en prendre soin toi-même... Allez viens" J'allais la lever lorsqu'elle reposa la même question "Tyler ? Tu prendra soin de Monsieur doudou ?" Je refusais de la laisser. Elle s'en sortirait. Je la releva, et c'est là que je m'aperçue qu'elle perdait beaucoup trop de sang. Elle était pâle, et plus du tout en forme. Il fallait se rendre à l'évidence... L'hopital le plus proche était encore trop loin, elle ne tiendrait jamais... Je cherchais du regard quelque chose pouvant servir de garrot... Même si au fond je savais que je ne pouvais plus rien faire, je me refusais à l'abandonner... Elle devait vivre bordel ! Sa petite voix me rappela ... "Tyler... Tu ne va pas abandonner monsieur doudou hein ?" Je me laissait tomber à côté d'elle. C'était un cauchemar... Un putain de cauchemar... Et j'allais me réveiller, on reprendrait notre quotidien..."Non... Bien sur que non..." Les larmes me brouillaient la vue... Je savais qu'elle passait ses derniers instants, et elle le savais aussi... "Et maman ? Et Laura ? Elles vont bien hein ? Tu t'en occupera Tyler hein ?" Je regardais son visage, son si beau visage... Ses lèvres qui dessinaient presque un sourire, et ses yeux, qui ne montraient même pas de peur...

"Oui, elles vont très bien, ne t'en fait pas..." Je la porta jusque dans son lit, m'asseya à côté d'elle comme je faisait souvent, et la seule chose que je trouva à faire était de lui raconter une histoire. Sa préférée, celle de la princesse qui rencontre un lapin.. Je contemplait son sourire avec admiration, elle avait presque l'air heureuse... Ma gorge se serrait au fur et à mesure de l'histoire, que d'habitude je racontait presque machinalement, la connaissant par coeur. Pourtant, cette fois, c'était comme si je la découvrait pour la première fois... Tout prenait un sens nouveau, tout me semblait inconnu..Je vis ses yeux se fermer, définitivement, mais je continuais de raconter l'histoire, comme je le faisait à chaque fois qu'elle s'endormait au milieu du conte. Elle me disait toujours qu'elle endentait la suite de l'histoire dans son sommeil.. "Et la princesse accueillit le lapin dans son royaume. Ils restèrent ensemble, à s'amuser comme ils le voulaient dans le château.. Pour toujours..."

Je me leva et remonta la couverture jusqu'à son menton, lui posa un baiser sur le front, et comme promis, retira doucement monsieur doudou d'entre ses mains pour l'emporter avec moi. Avant de sortir de la chambre, j'attrapa sur la commode le collier de Laura, avec une photo de l'été dernier, d'elle et d'Emilie. J'accrocha le collier autour du cou de l'ours en peluche, et sortit en éteignant la lumière derrière moi. Je jeta un dernier regard dans l'obscurité et referma la porte de la chambre.

Je me sentais vide, avec moins de vie en moi que dans un cadavre. Je m'adossa à la porte et glissa jusqu'au sol. Ce n'était qu'un cauchemar... Ce n'est pas possible autrement... Je me pris la tête entre les mains et les larmes se mirent à couler d'elles mêmes. Je voulais hurler, crier ma rage au monde entier, réclamer vengeance... Mais crier ne servirait à rien... J'étais seul... Seul dans une maison ayant perdue toute vie... Les cadavres de ma famille se trouvant dans cette même maison. Je songeais à mettre fin à mes jour, ici. Où aller de toute façon ? Que faire maintenant qu'il ne me reste plus rien ? Alors que je m'étais persuadé de passer les derniers moments de ma vie, un bruit me sortit de mes songes. Il était là... Juste à quelques mètres de moi... Je devinais sa présence, juste derrière la porte entrouverte de ma chambre. Je n'osais bouger. Je savais qu'il était la, il savait que j'étais là. Mais comment être sûr de son identité... Je me leva comme je pu, essuya quelques larmes du revers de ma main, faisant face à la porte de ma chambre. Quatre mètres, non, trois.. J'entendais son souffle. Qui oserait attaquer en premier ?

Un énorme bruit résonna dans le salon. Mes pensées se séparèrent de leur objectif pour penser aux cadavres de maman et de Laura. A peine une seconde inattention. Une seule. Et une de trop. Le coup de feu partit, le bruit me frappa les tympans et je ne sentis sur le coup rien, à part mon corps s'écrasant contre la porte et qui tombait au sol. Ma tête heurta le sol, je sentais mon sang se déverser sur le sol. Il avait visé l'épaule droite, juste à l'endroit où la plaie que j'avais eu à la mer s'était infectée. Coup de hasard ? Je n'en savais rien, mes pensées n'étaient plus très claires, je sentais juste une énorme douleur qui se propageait dans tout mon corps. Je n'avais plus aucun contrôle sur mon corps, j'arrivais juste à garder difficilement le contrôle sur mes yeux. Assez longtemps en tout cas pour voir les jambes de l'agresseur partir en courant, dévaler les escaliers. Mais je ne voyait rien d'autre ; le noir me submergeais. Je vis une deuxième forme rejoindre la première en bas des escaliers, j'avais de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts. J'entendis cette dernière phrase ; "Maintenant, on est quitte". La voix de mon père... Je vis les deux silhouettes s'échapper par la porte et disparaître dans l'obscurité. J'y plongea moi aussi ; je n'avais plus la force de lutter. Puis, tout devint noir.



                                   ~~~ Quelques mois plus tard~~~



Je referma la fenêtre derrière moi en prenant soin de coincer la ficelle rouge de manière à pouvoir réouvrir la fenêtre de l'extérieur. Je posa un pied sur un petit défaut du mur à ma gauche et m'accrocha au rebord du toit. Puis, je me hissa sur celui ci, attrapa la sangle de mon sac que je venais de poser là et grimpa jusqu'en haut. Je m'arrêta quelques minutes pour regarder le petit village plongé dans le noir, profita du silence. D'un coup, je me laissa glisser sur la seconde partie du toit jusqu'au bord, d'où je pu sauter sur le toit de la veranda, environ un mètre soixante en dessous. Et de là, j'avais accès à l'échelle qu'on laissait toujours là. Je me faufila dans le bois juste à côté sans même jeter un regard sur la maison.

Je n'aimais pas cette maison. Je n'aimais pas ce village où je devais vivre. Et je n'aimais pas ces gens qui s'occupaient de moi. Maison d'accueil... Tu parles ! Une prison serait plus accueillante. Mais je n'avais nul part d'autre où aller, et, comme tous les soirs, j'y reviendrais avant le lever du soleil. Je rentrerai par la fenêtre, remettrai mon pyjama, cacherai mon sac sous le lit et me recoucherai 20 minutes avant que "madame" vienne me réveiller. Là, je ferai semblant de dormir et elle me proposera de venir promener le chien avec elle. Je lui répondrais simplement que je préfèrerai dormir encore un peu et elle s'en ira. Comme tous les jours.
Je ne sortirai de ma chambre que pour manger un peu, et elle me forcera à faire un tour dehors vers 14 heures. Forcé d'accepté, j'irai en bord de route et regarderai les voitures et leur conducteur. Je tenterai de voir l'histoire des gens dans le quart de seconde où je verrai leur visage, avant de les voir disparaître sur la suite de la route à jamais. C'est ça, trace ta route et continue ta vie tant que tu n'a pas de problème... Puis, tu verra, tu comprendra que la vie est une chienne. J'insulterai ceux qui semblent heureux, comprendrait presque ceux qui sont malheureux. Je rentrerai vers 18 heures, vêtement sali à cause de la boue en bord de route. Madame la maîtresse de maison me grondera de mon retard et de mon état, puis s'en voudra d'approfondir mon malheur, me proposera plus de libertés... Et pour se faire pardonner me donnera plus de dessert au repas. A 21 heures elle tentera de créer des liens en me proposant de m'occuper avec elle, aux choses qu'elle aime bien faire. Peut-être que je tenterai de lui faire plaisir, mais sa ne durera pas plus de 15 minutes, car c'est vite énervant de rester avec elle. Je prétexterai que je suis fatigué et monterai me couche. A 22 heures elle passera voir si je vais bien, puis je serai tranquille jusqu’au lendemain matin. A 23 heures, quand je serai sûr que toute la maison dort, je repartirai dehors. Comme si j'arrivais à dormir... Comme si j'avais tout oublié ! Foutue routine... Foutu quotidien... Saloprie de vie !

Au début, je marchais sans but, pendant toute la nuit, je marchais juste, pour penser à autre chose. Puis au bout d'un mois j'ai découvert cette sorte de grotte. Au milieu de la forêt, à un moment il y a un petit passage au milieu des feuillages. Au bout d'une dizaine de mètre il y a un renfoncement dans la roche. Vous continuez à marcher, le sol descend un peu, puis on peu se glisser sous une roche. La grotte fait environ 2 mètres de haut, je peux y tenir debout. Et je reste là, avec un briquet, juste au cas-où, parfois un peu de nourriture, et monsieur doudou. Je lui parle. Je m'occupe de lui. Il m'aide à tenir en fait. Avant, j'aimais bien l'embêter pour taquiner Emilie, je lui faisait des piqûres ou le privait de goûter. Mais en fait il est gentil. Il me rappelle tellement Emilie.. Alors je lui parle, je lui raconte à quel point c'est dur, et lui, il m'écoute. Pas comme ces psychologues que je vois, qui font ça uniquement en attendant leur paye. Monsieur doudou, lui il me comprend, je le sais.

Et puis un jour j'en ai eu marre de tout ça. Alors je suis partis, un soir, comme chaque soir. Sauf que cette fois je ne suis jamais revenu. Personne ne remarquerait mon absence. J'avais économiser pour acheter un billet aller simple pour la Floride. Retour à la maison. J'aurai 18 ans dans quelques mois, en attendant je me débrouillerai pour vivre. Puis, je trouverai un petit boulot où mon patron m'exploitera pour se faire un meilleur salaire sur mon dos, pendant que je gagnerai à peine de quoi vivre. Qu'importe. Je trouverai un petit appartement miteux, où le propriétaire m'arnaquera sur le loyer. Qu'importe. Je serai incompris des autres personnes, comme partout. Qu'importe. Je me fichais de tout.

                                            ~~~

Arrivé en Floride, il me restai encore un peu d'argent ; je pu payer un taxi jusqu'à notre ancienne maison. J'avais demandé au chauffeur de me laisser au bout de la rue. Il devait être 14 heures, et pourtant c'était désert. Je sortis monsieur doudou de mon sac et le serra contre moi. J'avançais lentement dans la rue, regardant chaque endroit; comme tout avait changé depuis ma dernière venue. Puis j'arrivai devant notre maison et me stoppa. Si monsieur doudou aurait été vivant il aurait fini étranglé tellement je le serai fort. Elle n'avait pas changée. L'herbe avait poussée, certes. Mais la petite villa brillait à mes yeux. Je me mis à courir sur le chemin qui menait à l'entrée, et pour la première fois depuis longtemps je me mis à sourire. La clé était encore derrière le pot de fleur (même si les fleurs en elles-mêmes n'étaient plus). Je ressentis une joie extrême lorsque je fis renter la clé dans la serrure et que la porte s'ouvrit.

Tout était éteint à l'intérieur, mais je fus ravi de voir que le courant marchait encore. La poussière était partout, du coup je me mis à calculer depuis combien de temps la maison était déserte.. bientôt quatre ans ! Tout ce temps m'avait paru comme une éternité... Et pourtant, de retour ici, j'avais l'impression de n'être jamais parti.
Je commençais à inspecter chaque pièce, tout d'abord heureux de tout revoir. Les beaux vases de maman, les poupées de Laura, la petite couverture d'Emilie. La simple vue d'une feuille de dessin d'Emilie me fit sourire. Sa ne ressemblait pas à grand chose, mais je me souviens que c'était, d'après elle, nous cinq. J'éprouva une énorme joie en retrouvant le cahier de dessin de Laura, que je glissa dans mon sac. Mais au bout de quelques minutes, mon sourire avait disparu, et quelque chose me serrait la gorge. Je m'asseya sur le canapé. En revenant ici, je pensais être plus proche d'eux... Mais trop.. Revoir tous ces objets leurs appartenant, tous ces endroits où on a vécu et où je les revoit partout. Les pleurs furent plus forts et je les laissais aller. Comment ai-je pu me croire capable de retourner dans leurs chambres, revoir leurs jouets et leurs affaires... Je restais au rez-de chaussé jusqu'à la tombée de la nuit, où, après avoir regardé le coucher de soleil sur la mer, je retrouva un peu de force pour monter dans les chambres à l'étage...

C'était à la fois horrible et apaisant; douloureux et magique. J'avais l'impression qu'ils étaient tous là, avec moi. Sauf mon père, que j'avais de toute façon jeté de mes pensées à ces moments-là.

Je restai quelques jours dans notre maison, avant d'être obligé de ressortir pour chercher de la nourriture. Durant ces jours, j'avais nettoyer plusieurs pièces (dans d'autres je n'avais pas le courage d'entrer), je laissais les volets ouverts toute la journée pour ne pas que la maison soit trop sombre, et je laissais les fenêtres ouvertes pour laisser entrer du bruit. J'aurai fini par m'y habituer; j'aurai voulu rester là à jamais. Rien que là. Mais l'argent diminuait, et il fallait que je travail.
Comme je n'avais pas la majorité, je dû travailler au noir quelques temps. Je travaillais la plupart de la journée, pour un salaire minable. J'entendais mon patron parler de la France, qu'il allait bientôt y vivre grâce à l'argent qu'il économisait depuis des années. J'entendais les gens me critiquer, car je n'étais plus l'un des leurs mais un étranger. J'entendais des mauvaises nouvelles à longeur de journée; notre pays va mal; les gens se lassent; etc... J'entendais des tonnes de choses, sauf ce que je voulais et que je désirais depuis longtemps : les voix de mes proches, qui me manquaient terriblement. J'avais beau vivre avec leurs affaires, ce n'était pas comme vivre avec eux... Et ils me manquaient, ici plus que jamais. Rien ne me les ramenerait. Tout comme je n'ai jamais entendu de signe de l'agresseur, qui a dû s'enfuir loin et qui ne sait pas à quel point il a brisé des vies... Et mon père.... Ce salaud... Où est-il ? Vit-il, lui aussi, aisément dans un pays riche à couler des jours heureux avec une nouvelle famille ? A t-il tout oublier ?

A mes 18 ans, j'aurai dû hérité de l'argent de mes parents. Mais je n'ai pas pu; car j'avais une nouvelle identité depuis mon séjour en famille d'accueil et n'était plus reconnu comme leur enfant. "Désolé monsieur Will Owen, mais vous ne pouvez récupérer cet argent, il est destiné à un certain Tyler Lawson". E****** de banquiers. Je dû continuer de bosser au noir pour vivre. Mais vivre était-il le bon choix ? Je n'en savais rien, je savais juste que je devait retrouver mon père et l'autre tueur... Mais où ? Certainement pas ici... Il fallait que je les retrouves...


~~~

"Will, dépêche toi !" La voix grave de mon boss m'énervait. Will, fais-ci, fais-ça.. Pendant qu'il ne faisait que discuter toute la journée avec les clients et fumer des cigarettes.
"Madame Johnsons ! Comment allez-vous ?" Mon dos n'était plus qu'un tas de cendre à force de soulever des cagettes pleines de nourriture, destinée à être vendue comme de superbes produits, alors qu'elle venaient de champs où des enfants avaient été exploités pour les récolter, et qui provoqueront certainement une indigestion à la personne qui les achetera.
"Vous prendrez quoi cette fois ci madame Johnsons ?" Cela fait 2heures que j'aurai dû avoir ma pause, mais je dois porter ces cagettes, encore et encore..
"Oh vous savez, ma femme est allée achetée les billets d'avion ce matin !" Mes jambes vont lâcher; 6 heures que je suis debout, et certainement que je ne serai même pas payer.
"Nous partons demain à l'aube... Mon dernier jour de travail !" Mon prochain patron me fera travailler encore plus, il me l'a dit. Il se frotte les mains à l'idée d'augmenter son profit. Soit disant je gagnerai mon salaire proportionnelement aux heures que je ferai. Qui croirais encore ces idioties ?
"Adieu madame Johnsons ! Au plaisir de vous avoir connu, et prenez soin de vous !" Je suis à bout de force. Je n'ai plus qu'à éspérer que la faucheuse vienne me chercher.
"Will. Tu peux rentrer." Même pas une foutue pièce... Rien... Si seulement je pouvais l'étrangler; lui faire exploser l'estomac avec ces foutus légumes qu'il ne mange pas lui-même; trop occupé à se goinfrer de kebabs, hamburger et autre trucs malsain qui coûtent bien plus chers. La dernière impression que je garderai de lui ; un arnaqueur, un truant, qui ne vaut pas mieux que toutes ces autres personnes qui se croient supérieures. Des incapables, des escrots ! Si seulement je pouvais l'étouffer sous ces maudites cagettes, l'écraser avec sa fichue camionnette, lui crever le coeur avec son couteau suisse, le brûler avec son briquet...



        ~~~



Je lève les yeux sur l'écran. 7minutes. Un dernier regard autour de moi, juste au cas-où. Mais je ne le voit pas. <<Les bagages de plus de 3kilos doivent aller en soute>> Mon sac à dos ne doit pas dépasser les 2 kilos. Je vérifie une dernière fois que monsieur doudou se trouve dans ma poche. Et puis je serre ce bout de papier entre mes doigts. Peur qu'il m'échappe, peur de le perdre. 5minutes. Juste le temps de m'acheter à manger et j'y vais. Autour de moi tout le monde s'active. 3minutes. J'ai acheté un sandwich au thon et deux magazines, pour le trajet. Je ne lit jamais de magazine, mais je me dit qu'avec tout ce changement peut-être... 2minutes, je vais y aller. Couloir n°16. Il n'y a pas beaucoup de monde. L'hôtesse me sourie, mais je sais que comme tout le monde elle attends juste de pouvoir rentrer chez elle, et ce sourire ; juste dans le but de toucher sa prime à la fin du mois. Moi, je ne lui souris pas, je ne lui parle pas. Je lui tend juste mon ticket, et passe les portes.
<<L'avion à destination de Paris va bientôt décoller. Les passagers de ce vol sont priés de se présenter immédiatement aux hôtesses chargées de l'embarquement>>
J'ai une place à côté de hublot. Tant mieux, je pourrais voir la mer. Mon sac est au dessus de moi, dans les rangements. L'avion va décoller. Mes oreilles sifflent, puis les gens s'occupent ; ordi, musique, reprennent leur discutions... Mais moi je reste impassible à regarder les nuages. On ne voit même pas la mer. On ne voit même rien. Mais je regarde dehors, comme si là-derrière le monde était meilleur. Dans le ciel, je me sens plus proche d'eux. Tellement proche, qu'on aurait même pu voir monsieur doudou sourire, assis sur mes genoux.


J'ai pris les places d'avion de mon patron. Il les avaient laissées dans la camionnette. Il y avait aussi l'argent qu'il économisait depuis longtemps, déjà échangée en monnaie européenne. Il parlait tellement de son voyage. Il me prenait tellement de haut. J'ai un sacré paquet d'argent dans mon sac, et deux billets pour Paris. Monsieur doudou à son siège à côté de moi. On va commencer une nouvelle vie. En France. Peut-être que ce pays nous aidera à aller mieux. Je dit nous parce que monsieur doudou ne va pas bien non plus. On reste solidaire, mais au fond on attend la même chose : le jour où on reverra Emilie, là-haut.



   


   

Will Tyler Lawson Parti_12




   

   Participez-vous déjà à un forum RPG ? Si oui, les ou lequel ? J'ai participée à plusieurs forums, mais c'est le premier que je refais depuis quelques mois Smile
   Comment êtes vous arrivez ici ? Grâce à Larry Very Happy
   J’approuve avoir lu le règlement ?Comme si moi j'allais respecter des règles Oui


   Cette fiche à entièrement été réalisé par Elisa Vitellius, nous aimerions qu'elle ne soit pas reproduite.
   Attention, en affirmant que vous avez lu le règlement, vous nous autorisez à vous avertir (jusqu'à l'exclusion) si vous ne le respecter pas. Merci de votre compréhension et nous vous souhaitons de bon RP après vos trois validations.


Dernière édition par Will Tyler Lawson le Sam 29 Mar - 10:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptySam 29 Mar - 8:04

Réaction d'Aphrodite quand elle comprend que la fiche à déjà été posté : elle se précipite.
Du haut de son petit portable elle observe la longueur de la fiche avec de gros yeux ronds. Elle prend alors son ordi et lis la fiche !

Bravo franchement bravo. Déjà car la première question sur le caractère est limite poétique j'ai faillis me mettre à pleurer. Ensuite pour l'histoire mon dieu mais qu'elle est géniale !!!!

Le seul hic c'est que dans tes goûts et passion j'aurais bien aimé savoir ce qu'il n'aime pas. ^^
Je ne te force pas car le travail de ton histoire est magnifique et que j'ai l'impression que tu maitrises très bien ton personnage donc pour moi tu es validé. ^^
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptySam 29 Mar - 10:19

Merci pour la validation =)

Oui, je suis assez fière du point de vue que j'ai trouvée pour le caractère ^^ Je vais peut-être le reprendre pour les RPs ^^

Désolé si l'histoire a été un peu longue, j'ai eu un coup d'inspiration subite =P

Et au fait, j'ai quand même rajouté un paragraphe dans les goûts et passion. Y'avait pas grand chose à expliquer, mais sa montre beaucoup plus le personnage ^^'

Encore merci !


Edit : J'avais une question à propos de ma fiche. J'y ai casé quelques mots de vocabulaire familier, vulgaire et quelques insultes (surtout dans la fin de l'histoire), mais sa reflète énormément la manière de penser de Will.
Je voulais juste savoir si sa dérangeait pas ? Et au niveau RP aussi, si j'aurai l'autorisation d'en mettre quelques uns ? Pas trop, promis ^^
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptySam 29 Mar - 11:01

Pour les gros mots, il faut surtout mettres des petites étoiles c'est toléré mais faut pas trop non plus en abuser mais j'avais envie de dire, c'est dans le nature humaine. ^^
Sinon si il y a des passages dans tes RP que tu trouves vraiment trop dérangeant susceptible de choqué quelque personnes alors mets des spoliées comme ça tu n'auras pas de problème. ^^
Mais bon, on est pas trop exigeant on vous avertit quand même quand il y a y truc qui cloche ou qui gêne. ^^
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptySam 29 Mar - 11:02

Ouais ! Tu es validé ! (on va pouvoir faire des RP de la mort qui tue)
Bref, donc bienvenue Will !

[Larry]Bienvenue monsieur Lawson. J'espère que vous avez fais bon voyage... *repart dépecer un lama chat*[/Larry]
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptySam 29 Mar - 20:54

D'accord c'est noté ^^'


Larry : prépare-toi je vais te faire la peau comme jamais quelqu'un t'a fait la peau  king 
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptyDim 30 Mar - 18:19

T'as fiche est nickelle! Franchement ça fait plaisir de voir une aussi bonne qualité dans la rédaction de ton histoire.
Évidemment que je te valide!
Tu peux commencer à RP
Je te souhaite un bon moment parmis les membres d'Olympus Wink
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptyDim 30 Mar - 19:55

Merci beaucoup ^^'

Dites ; je peux avoir ma couleur orange d'habitant de la Terre siouplait ? =3
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptyDim 30 Mar - 20:57

Tu as ta couleur. ^^

Joyeux post ! ^^
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptyLun 31 Mar - 4:10

Waahhh ! *p* l'histoire est plutot longue mais ca vaux trop le coup de la lire ! J'adore !
Felicitations vraiment Wink
Bienvenue sur le fo !
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson EmptyLun 31 Mar - 18:41

Merci beaucoup =)
Sa fait plaisir de voir que mon histoire à plu, vraiment  Embarassed 
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MessageSujet: Re: Will Tyler Lawson   Will Tyler Lawson Empty

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