Le garage automobile... Faisons réparer ce satané rétroviseur!

Ma voiture tourna à droite pour franchir un grille verte bouteille et se gara à côté d'autre voitures accidentée. La jeune femme encore anonyme et dont je n'ai pas cherché à connaitre le nom, m'avait indiqué le chemin avant que de partir en direction de ce lieu. Vu que j'étais arrivée depuis peu de temps, je ne connaissait pas encore le centre ville. J'ai été tout de même agréablement surprise puisque même si nous sommes dans un petit village je vis: une boulangerie, un primeur, un épicier, une librairie/papeterie et un bureau de tabac/bar. N'oublions pas de rapeller que l'abus d'alcool et le tabagisme sont dangereux pour votre santé et celle de votre entourage. Bref, le garage automobile était un genre de cube gris moche et en plastique étrange, je ne serai pas comment vous dire comment ça s'appelle. Vous savez ce truc tout gris et tout ondulé. Je sorti de ma voiture et relevai mes lunettes de soleil et me tourna vers la fille GPS.

-Euh... C'est quoi votre nom? Pour que je puisse mieux m'adresser à vous.

La jeune dame demanda à Aphrodite de la conduire et de lui servir de GPS pour l’emmener jusqu’au garage automobile. La déesse lui donna des indications, grâce aux flèches doré, invisible pour les humains que lui envoyait Hermès. A chaque virage, sa sorte de natte changeait de place pour se mettre à un autre endroit. La jeune mère se gara près d’un tas de ruine, plus communément appelé voiture à réparé. Mais il n’y avait plus grand-chose à faire pour elle ! La photographe se tourna vers sa passagère et lui demanda son nom.

-Je m’appelle Aph… Alex !

La langue de la déesse avait fourché. Mais elle s’était rattrapée avant. Voilà pourquoi il était pratique d’avoir un prénom qui commence par un A pour elle ! Heureusement, elle n’était pas trop distraite, juste un peu, de quoi vous faire vivre de belle aventure. Elle sortit de la voiture et une forte odeur d’essence se fit ressentir. La belle Alex grimaça et plissa sa jupe. Elle vit un homme avec un chiffon venir à leur rencontre. Il était assez fort, plutôt musclé, avec un début de barbe sur le menton. A première vu, il n’avait pas l’air sympathique, croyant que les deux jeunes femmes étaient là sans raison apparente, mais dès qu’il vu le rétroviseur cassé, son visage s’illumina. Il ouvrit la bouche mais la déesse fut plus rapide.

-Gaspard ! Saluuut ! Comment tu vas ?

Le garagiste la regarda avec un léger doute et un sourcil de travers.

-Moi c’est Pierre.

La jeune déesse se mit à rigoler, comme pour dire « oui, je sais, je te faisais une blague » mais l’homme n’avait pas vraiment une tête à rigoler ou à trouver ça drôle. Elle usa donc de son pouvoir de séduction et lui demanda de jouer le jeu et d’en plus, faire cela gratuitement. Bien sur, pour que cela n’éveille pas de soupçon, elle le fixa et dès qu’il la regarda, il s’approcha de la voiture en regardant plus en détail. Aphrodite se dit alors que quelques explications ne seraient pas de refus et elle se mit près d’Elisa et lui chuchota.

-C’est notre façon de rigoler.

La crise avait été épargnée et normalement, la photographe tomberait dans le panneau.

La jeune femme assise sur le siège passager, s'appelait donc Alex. Nom dont elle à eut du mal à dire. Serait-elle bègue? Ca m'étonnerais elle a l'air de très bien s'exprimé. Enfin bref, ça ne doit être qu'un petit détail sans importance. Entre le moment de la rentré de ma Sonia où un soleil radieux éclairait la cour carré de son établissement et le cube qui se présentait devant nous, le temps avait changé. Il était devenu gris et frai. Je cherchai dans mon énorme sac à main mon gilet. Pour vous faire une image, ma besace pourrait servir pour les jeunes filles de seize ans, de sac de cour. Bref, mon gilet était rose de la même couleur que le ligne des boutons de mon chemiser. Effectivement je voyais la vie en rose et blanc. Mais encore plus en voyant le magnifique beau mécanicien s'avancer vers nous un morceau de tissu à la main. Il était grand, baraqué avec des bras énormes, de belles épaules carrées et son marcel qui moulait ses pectoraux et ses abdos. Il était bronzé avec des cheveux courts en épis bruns. Il avait comme pantalon, un vieux jean un peu troué avec des tâches de cambouis dessus et qui tombait un peu. Son visage était fin avec des yeux bleus et une barbe de trois jours. Physiquement c'est LE mec parfait. Mais alors qu'Alex l’appela par un prénom vieux mais je crois que sa véritable appellation sans erreur le fit descendre de son pied d'estale. Je sais ce n'est pas bien de juger comme ça, mais quand on aime la chair du sexe opposé il faut savoir être exigent. Alors peut être qu'être toujours célibataire à vingt-six ans c'est pas terrible mais bon j'ai une famille. La vie est dure mais on s'en sort avec ma fille. Puis la jeune femme qui m'accompagnait lui montra le problème justifiant notre visite. Il s'approcha avec un petit sourire et Alex me glissa une explication par rapport à leur complicité. J’acquiesçai avec un hochement de la tête et en gémissant un "Mm. Puis le jeune homme nous dit...

-Bien, il n'y a rien de bien compliqué madame, il y a juste à changer la glace, ça prend quelques minutes. Installez vous dans les fauteuils à l'accueil, je vous rejoins juste après.

-D'accord, merci pour tout.

J'ai pris un sacré coup de vieux quand il m'a appelé "Madame". Oh là là je prends une ride en plus! Mais bon, j'ai poussé la porte de l'accueil où une jolie brune nous a accueillies. Je lui ai expliqué la situation et je me suis assise dans l'un des fauteuils jaune canari...

Le beau mécanicien s’était avancé et avait observé avec soin le rétroviseur de la photographe. Il lui avait dit qu’il n’y avait rien de bien compliqué et qu’elle ne devait qu’attendre un petit instant. De préférence, au chaud, sur les sièges d’intérieurs, avec peut être une tasse de café… Non, la déesse en demandait trop. La photographe remercia le bel homme assez baraqué et, suivit de la déesse, partit à l’intérieur, s’assoir sur un siège jaune canari. La belle Alex la suivit et s’assit juste à côté d’elle. Elle observa l’intérieur assez modeste, une jeune femme était là pour les accueillir. La belle déesse prit ses aise sur le fauteuil peut confortable qui était à sa disposition. Elle remercia Hermès en douce et regarda un vase de marguerite qui ornait la table où se trouvaient quelques présentoirs et des brochures automobiles. Des abonnements, comment réparer le moteur à la fuite de gaz, quel essence prendre, il y avait de tout. C’était surement très intéressant, mais surtout pour les As du bricolage, pas pour la déesse de l’amour ! La jeune femme regarda ses ongles un instant, elle ne savait pas quoi dire. Puis elle trouva après un petit temps de réflexion.

-En fait, je vous ais dit mon prénom, mais vous, comment vous appelez vous ?

Elle attendit la réponse avec un petit sourire, de toute façon, elle savait déjà qu’elle avait à faire à Elisa Vitellius, mais il fallait qu’elle se sache comme cela se fait dans le monde des humains, en posant la question ! Sinon c’était trop louche et elle serait repéré, surtout qu’avec une sorte de journaliste photographe, c’est un peu plus dure de mentir, ils ont souvent l’œil c’est gens là ! La réponse ne saurait tardée. Puis elle fit une sorte de petit geste où elle se balançait un peu sur sa chaise pour revenir dans sa position initial.

-En fait, je ne veux pas savoir que votre prénom ! Je veux tout savoir sur vous !

Son mince sourire se fit plus grand, la jeune déesse était intéressé par les récits des humains, la vérité et les faits, leur façon de racontez et ce qu’il s’était vraiment passé, tout était différent et tellement intéressant à savoir ! Les histoires des humains, la déesse de l’amour ne s’en laçait pas ! Elle avait déjà envie de créer une romance entre le mécano et une autre jeune fille ! C’était tellement drôle ! Car les sentiments humains sont des choses bien compliqué, mais si passionnante !

On était rentrée au chaud où une jolie jeune fille était au guichet. Une jolie brune avec les yeux clair. "C'est la copine du mécano où j'ai encore un minimum de chance si je lui propose de boire un verre...?" Enfin bon, le beau jeune homme s'occupait de ma voiture donc on verra les plans drague plus tard. On était avec Alex dans le fauteuil à l'affreuse couleur. Il y avait une petite table basse avec des magasines automobiles. La jeune fille avec moi les regardait avec un œil intéressé. Ensuite elle me demanda mon prénom. "Ah oui c'est vrai je ne me suis pas présentée". Alors que j'allais dévoiler mon appellation elle m'a finalement demandé, avec un grand sourire, toute ma vie! "Suis-je obligé de dévoilé toute ma vie à une fille que je ne connais que depuis peu de temps? En même temps je ne connais que peux de gens dans cette ville. Ca peut être bien de se faire des amis." Après une petite réflexion, je me suis dit que ça ne ferait rien de mal.

-Alors... Je ne suis pas française. Je viens d'Oxford en Angletterre. Ca s'entend un peu non? Enfin bref, mes parents sont chirurgien donc je ne les aies pas souvent vu mais j'étais une petite fille herseuse qui sortait souvent. J'ai eut un amoureux au lycée qui m'a mis enceinte. Sauf que petit problème, je ne l'ai sut qu'au bout de quelques mois. Du coup voilà. Je me tiré d'Angleterre à ma majorité et fais des études de journalisme que j'ai fini l'année dernière. A présent j'ai un boulot et une petit fille un peu surdoué! Voilà en gros c'est ça ma vie...

Bien sûr ma simple existence est bien plus compliqué mais j'ai fait simple!

La déesse Aphrodite voulait en savoir plus sur cette humaine qui l’intriguait un peu. Pourquoi cela ? Elle ne le savait pas vraiment, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas protégé un humain et l’avait aidé dans sa vie. Mais elle pouvait toujours se rattrapé dès maintenant. Surtout que ce monde n’a pas l’air très compliqué à comprendre. Elle pourrait peut être l’aidé et comprendre sa vie ! Après tout ! La jeune fille lui fit alors un petit topo sur sa vie. Qui était toute fois intéressante. Elle n’avait pas hésité à ce relevé malgré ce passage un peu dur dans sa vie. Elle avait du courage et Aphrodite l’en admirait que plus. Après tout, la déesse avait eu un très beau parcours sans soucis ! Elle avait des pouvoirs, elle était belle, l’amour et la chance lui souriait mais ce n’était pas le cas des gens qui n’était pas comme elle. Oui car, elle n’est pas humaine ! C’est une sorte d’extraterrestre avec des supers-pouvoirs ! Mais ça, elle n’avait le droit de le dire, à personne, sinon, elle pouvait y laisser non pas la vie, mais la couverture des dieux si bien protégé. Avant, ont les vénéraient, mais maintenant, ils ne sont plus que livre et histoire ! Il y aurait bien quelques privilégiés qui le sauraient, mais ils se font rares.
La déesse écouta donc tout et après un petit moment, remarqua qu’elle n’avait toujours pas dit son prénom. Elle eut un petit geste de la main gauche et vint se gratter quelques secondes son l’œil puis, elle plissa sa jupe et dans un mouvement de tête pour bien regardé la journaliste en face, elle lui dit.

-Euh, je ne crois pas que vous m’ayez dit votre prénom. En tout cas, vraiment, je suis navrée que ces enfants jouent aussi près des voitures. Croyez moi, ils ne reviendront pas de si tôt !

Ce qui était ironique, c’est que c’était la déesse qui avait lancé la pierre, mais personne ne l’avait vu, tout cela dans le but d’attirer l’attention de la jeune femme pour lui parlez. Il y avait vraiment beaucoup de monde devant l’établissement, mais elle avait choisi cette jeune fille ! Un gros privilège si vous voulez mon avis !

Bien au calme dans cette boite de fer comblé de voitures et de fauteuils jaunes poussins. Remarque, on était tellement bien calé dedans. J'avais la charmante compagnie d'Alex, une jeune femme que j'avais rencontré un peu plus tôt dans la journée. Je lui ai expliqué la dure réalité de la vie. Enfin non. La dure réalité de MA vie. Moi, je la jeune adolescente insouciante qui a passé à l'acte sans penser au lendemain. Sauf que le lendemain est composé de plus de quatre vingt ans. Alors j'assume avoir fait une bêtise mais excusez moi, le gosse je ne l'ai pas fait toute seule. Il y a bien un "quelqu'un" d'autre pour avoir conçue Sonia, et ce quelqu'un s'est tiré! Me laissant seule avec une gamine sur les bras. Alors pour ceux qui me connaissent me diraient: «Mais pourquoi tu n'as pas accepté la proposition de tes parents?" Et ma réponse: «Tout simplement parce que c'est mon gosse, et que je ne refile jamais mes conneries aux autres!" Enfin bref, ça ne m'a pas empêché de faire de longues études avec des grandes ambitions. Je suis devenue diplômée d'une école de journalisme. Enfin maintenant il ne suffit plus que trouvé un travail à la hauteur de mon talent car il faut dire ce qu'il y est, se charger de la rubrique des "choses sans intérêts mais inintéressantes de la semaine" n'est pas vraiment le travail d'une journaliste. Pendant que j'y suis le titre est vraiment celui là, ce n'est pas de mon invention. Ca craint vraiment. Enfin bref tout ça pour dire, que pour vraiment faire quelque chose à la hauteur d'Elisa Vitellius, il faudrait que j'ai ma propre rédaction, et ça c'est pas gagné. Il faut les moyens et le truc c'est qu'avec ma situation en ce moment et mes finances je ne risque pas de pouvoir mettre mes plans à exécutions. Enfin bon tout ça parce que ma nouvelle connaissance voulait savoir un peu plus de choses sur moi. En commençant par mon prénom que je n'ai toujours pas donné. Il m'arrive d'être tête en l'air comme même.

-Oh désolé, mon prénom est Elisa. Et oui j'espère bien que je n'aurais pas d'autres désagréments.

Puis mes yeux se sont illuminés et mon corps s’enflamma. Le beau mécano rentra dans la pièce et nous dis...

-C'est bon. Votre voiture est comme neuve...

Je ne pouvais pas me détaché de ses magnifique lèvres...

La jeune femme donna enfin son nom à la déesse qui ne désirait que ça à la base. Bien sur, c’est ce qu’elle voulait à la base. Mais Aphrodite est très curieuse, surtout sur la vie des gens ! Peut être fait-elle preuve de commérage ! Mais pour le moment, il n’y a pas eu trop de plainte durant les millénaires qui se sont enchainé. Pour en revenir à l’essentiel, la déesse de l’amour et de la beauté ne savait pas lire dans les esprits et ne savait pas grand-chose de la belle Elisa, sauf ce qu’elle avait pu entendre ou constaté par elle-même. Aucun dieu n’avait vraiment le pouvoir de lire dans les esprits des gens. Ce serait bien trop facile pour les tourmenter. Alors qu’elle observait minutieusement Elisa du coin de l’œil, l’homme dont elle avait déjà oublié de prénom revenait pour signalé que la voiture était prête et redoré. Puis, comme si Elisa avait un compteur d’amour au dessus de sa tête, la belle déesse vit qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de regarder l’homme en face d’elle. La jeune Alex regarda tour à tour l’homme et Elisa. Elle avait l’impression de ne plus existé ! Hors, elle détestait cela ! Elle était confronté à faire un choix ! Faire que les deux forment rapidement un petit couple ou faire rater cette opportunité à Elisa. Et vous savez comme les dieux aiment être au centre de l’attention, du coup, elle prit la seconde option ! Ils ne s’aimeraient pas ! Elle fixa l’homme et lui ordonna, dans un élan amoureux, de racontez toute sa vie avec des âneries. Elle le regarda ensuite faire, l’œil amusé. L’homme se baissa à la hauteur d’Elisa et commença à lui dire des mots sur un ton assez doux.

-Vous savez… depuis que j’ai réparé votre voiture, je ne pense qu’à vous ! Je me dit que je pourrais peut être vous enlever et vous mettre dans une maison comme ce fou américain qui avait trois femmes chez lui ! Mais ne vous inquiétez pas, vous devrez juste faire les taches ménagères et vous occupé de Margot. Margot, c’est ma tortue ! Et j’ai aussi un raton laveur !

Il commença à lui toucher les cheveux comme on touche un tissus de soie pour le regarder et l’examiner.

-Je me demande qu’elle tête vous auriez avec des cheveux cours et des yeux roses. Alors ? Qu’en pensez-vous ? Voulez vous vous marriez avec moi par les liens des oiseaux et que nous gambadions tous les deux dans un champ de blé ?

Aphrodite avait peu être été trop fort sur les absurdités qu’avait dit Gaspard. Ce baladé dans un champ de blé ? Des yeux roses ? Si il était vraiment comme ça en vrai, elle ne viendrait plus jamais mettre les pieds dans ce garage automobile, elle demanderait à Zeus d’abattre sa foudre dessus pour qu’un autre homme plus séduisant viennent réparer des voitures. En plus, celui-ci, il portait une alliance. C’était un véritable frappé ? Mais Alex attendit quand même la réaction d’Elisa, car il le garçon lui plaisait quand même et qu’elle disait oui, elle était dans de beau drap !

Juste avant de s’attaquer à la situation plus qu’étrange qui viens de commencer je vais revenir sur les faits. Ce matin, jeune maman que je suis, j’ai accompagné ma fille à la rentrée. Sauf qu’au lieu de rentrer chez moi pour préparer mes dernières affaires pour partir travailler dans la foulée. Sauf qu’au lieu de ça, des petits garnements ont fissuré mon rétroviseur. C’est grâce aux cris d’une jeune femme prénommée Alex que je me suis rendue compte du délit de ces jeunes gens sans scrupule. Ensuite, ma nouvelle connaissance m’a conduite au garage automobile pour le faire réparer. A mon arrivée j’ai rencontré un type juste super extra méga beau. Un apollon baraqué avec des yeux magnifiques et vraiment viril. Je lui ai confié ma petite voiture avec un espoir… Ou plutôt un arrière pensé. J’avais bien envie de lui donner mon numéro de téléphone de manière à se qu’on aille boire un verre. En attendant que le bel homme au terminé de travaillé, nous avons patienté en faisant connaissance. Mais, j’ai tout de suite réagis à l’entré du mécanicien. Il m’annonça la fin de son travail.

Mais… il m’a raconté quelque chose d’étrange. Alors, le fait qu’il ne pensait plus qu’à moi et qu’il souhaite que je lui appartienne avait une connotation très agréable. Mais la suite m’a semblé étrange… Alors, derrière ce gaillard, se cachait une tortue et un raton laveur. Comment dire que je me suis vraiment demandé si je n’étais pas entrain de rêver. Mais, le rêve… enfin plutôt cauchemar continua puisqu’il me demanda de l’épouser alors que ça faisait que peu de temps que je le connaissais mais il me demanda ça. Il me caressait les cheveux mais j’ai très rapidement reculé. « Pour qui il se prends… Oh ça va je ne suis pas un chien ! » En plus, ça demande était étrange en plus d’avoir été précédé par une remarque. Il m’imaginait avec les cheveux courts… « Mais ? J’ai déjà les cheveux courts !? » Et les yeux rose. « Euh… Qu’est ce qui se passe ? Il est drogué ? Il a de la fièvre ? » Franchement je ne pense pas qu’il soit très bien. A un certain point que je ne savais pas du tout quoi dire et comment réagir. Pour moi cet homme n’allait pas bien. Pas bien du tout ! « Bon Elisa faut bien répondre… Alors qu’est que tu vas répondre ? » Me disait-je. Mais le problème, c’est que ma franchise a pris un petit peu le dessus…

- Alors… Je t’explique mon grand. Tu vas arrêter de me toucher comme ça *fait un pas en arrière* et après ça. Je vais te donner mon numéro de portable et tu vas me rappeler quand tu seras dans un état normal. *écrit et donne un bout de papier avec son numéro* On va boire un verre si tu veux mais je ne me marierais pas avec toi c’est sûr. Du moins pour le moment…

Comme ça… C’est dis ! Espérons que dans cette situation un peu bipolaire il ne se mette pas à pleuré pour mon pseudo râteau.

La jeune Elisa géra extrêmement bien la situation, aux yeux de la belle déesse. C’est vrai combien de fille, de femme, repousserait un homme aussi beau en quelques secondes et sans hésitation ? Puis, celle-ci lui donna quand même son numéro. En fait, elle est comme les autres ! A ce moment là, la belle déesse aurait pu complètement se désintéressé à la jeune Elisa, pourtant, quelque chose l’attirait à elle. Elle ne semblait pas du tout comme toutes les autres, elle semblait un peu différente. Peut être était ce en rapport à son histoire ? Peut être que… Peut être que… Aphrodite ne pouvait faire que des suppositions car elle ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas retourner sur l’Olympe sans un petit pincement au cœur. L’homme regarda Elisa avec un moment d’hésitation, Aphrodite avait relâché son sort et ne s’était pas préoccuper de la réaction du jeune homme à la carrure importante et imposante. Il regardait la jeune femme avait une lueur d’incompréhension.

-Je ne sais vraiment pas quoi dire Mademoiselle. Les amies d’Alex sont les bienvenus ici, mais… comment dire… Je ne suis pas intéressé.

Mais d’où venait ce petit retournement de situation ? C’est la jeune déesse qui, dans un élan de jalousie, avait détourné le coup de foudre que je-ne-sais-plus-son-nom avait eu pour Elisa. Maintenant, c’était pour Alex que l’homme était épris.

-En fait, je suis amoureux d’Alex depuis toujours et je n’ai jamais voulu lui dire. C’est surtout pour elle que j’ai réparé ta voiture. La belle déesse était des plus cruelles. Mais elle avait besoin d’être au centre de l’attention. Elle avait besoin de se montrer et d’être au devant de la scène. La belle déesse prit la main d’Elisa.

-Viens ! Nous allons autre pars ! Il est vraiment bizarre aujourd’hui, surtout que je lui en ai déjà parlé. Je lui ai dit qu’il ne m’intéressait pas. En faite, ce n’est pas trop mon genre.

La belle déesse entraina Elisa dehors sous le regard un peu triste de l’homme, mais dans quelque instant, le seul truc qu’il aurait en tête c’est ce qu’il avait fait les dernières vingtaines de minutes, car bien sur, il va oublier tout ça ! Aphrodite regarda Elisa et s’appuya sur une des voitures en triturant ses cheveux. Elle y était allée un peu fort mais elle s’en fichait, car c’était une déesse.

-Et si on allait autre pars ? Où tu veux ! Je ne connais pas le coin. Sauf si tu veux resté seule et dans ce cas là, je pars c’est pas grave !

J'avais passé des bonnes vacances d'été , de très bonnes même ! J'avais remporté l'éléction et j'étais à present maire ! Aujourd'hui c'était la rentrée de ma petite de 8 ans à peine , elle venait de les acomplirs cette été , c'est fou comme quoi le temps passe vite ! Ma blondinette était sur le fauteuill arrière en train de chantonner les derniers ''Hits'' des grandes vacances , elle se perdait un peu entre les mots de la langue anglaise ,mais malgrès tout elle se débrouillait pas mal , moi je l'observais à travers le retroviseur en souriant . Mais soudainement la voiture frena brusquement en offrant un dernier jour d'été à Polly qui ne pouvait être plus heureuse en écoutant cette nouvelle ...

-Tiens , juste devant le garage ! Bon Polly on va profitter pour faire un coucou à Pierre !

Je poussa la voiture deux mètres en riant de bon coeur , Polly en rajouta agripé sur mes épaules en me prenant par le dessus de la tête ,puis finalment on entra au garage ou se trouvait Pierre accompagné de deux jeunes femmes très belles l'une et l'autre , une brune appuyée sur une voiture et une autre au cheveux plus cours , Pierre était bien (?) ... en train de faire une propose en mariage ? Oui , le mécanicien se retrouvais à genoux devant celle aux cheuveux courts , mais il changeat de cible pour celle au cheveux plus longs . De plus , je le connaisais depuis longtemps et je savais très bien qu'un homme comme lui était marrié depuis longtemp avec une femme extrèmement jalouse .Louche - louche tout ca !

-Bonjour Pierre !Mais ? Voyons que fais -tu ?! Je crois pas que Laura vas aimer tout ca ...

Je pris Pierre par les épaules en le trainant avec difficulté jusqu'à la salle de repos en refermant la porte derrière lui , mais celui ci avait l'air totalement perdu comme hypnotisé. Bon . Il m'expliqueras sans doute plus tard !

-Je m'excuses mademoiselles de ne me pas m' être présenté tout à l'heure . Je me demande bien ce qui lui arrive *pointe vers le porte * J'espère juste qu'il ne vous as pas dérangées ?Au fait moi c'est Ezra *souris*

Oui , je ne disais pas directement que j'étais le maire , je n'aimais pas que l'on m'appelle du genre '' M. Miller'' ,ou bien ''M . lemaire'' ce genre de grand titres ne m'allaient pas , j'apréciais les choses simples et malgrès mon argent j'avais une voiture tout à fait normale, des habits hipers ''casual'' et puis ce jour ci je le vivais comme citoyens qui accompagne sa fille le jour de la rentrée et non comme maire à la mairire signant des papiers importants . Ces filles devaient être nouvelles ici , je ne les avais jamais vues au paravant et pourtant je connaisais la plupart du village .

[Petit soucis physique alors RP tout pourris désouler!]

Le comportement des gens est vraiment étrange dans cette ville. Entre réalité et fiction un peu on dirait. Certaines réactions sont réelles mais d'autre sont... étrange. Effectivement, je parle bien du beau mécano me faisant des avances et qui finalement suite à mon numéro de téléphone recule dans ses décisions. J'ai juste envie de crier: "C'est quoi ce gros b*rdel!". Parce qu'en plus ce dernier avoua des sentiments pour Alex alors que quelques secondes avant il me demandait en mariage! Puis, un homme avec une petite fille fit son entrée. Il confirma que ce dernier était déjà en couple avec quelqu'un. Aaah mais que se passe t'il? Cet homme est il polygame? Pour tout dire, j'étais totalement déstabilise par cette situation. Le jeune père se présenta.

-Ben moi c'est Elisa. Alex, allons au bar juste là-bas. Venez avec nous Erza!

Je montrais du menton le bar et j'entrainais tout le monde dans le bar d'en face...

//Tout le monde quitte le RP//

[Aphrodite je te laisse le commencer Wink

]