a réponse de Larry à mon avance n’a pas vraiment été comme je l’imaginais. Je ne sais pas si je dois me sentir offenser ou pas. Quel faible ! Impossible de prendre les devants ! Les belles paroles c’est bien mais les actes, c’est mieux ! J’avoue que je déteste faire le premier pas. Ca montre que la fille à plus de cran que le gars. Il y a un citation qui dit « Une femme à besoin d’un homme qui la remette à sa place et non un homme qui lui cède tout ces caprices. » Le petit jeu de taquineries continuait. Il m’appelait toujours infirmière. Apparemment je suis une infirmière de talent… Et je saurais faire quelque chose pour son problème. Là dans ma tête un système de calcul c’est mis en place pour savoir qu’est ce que je pouvais faire mais surtout qu’est ce que j’allais faire ! Je me laissai aller à mes envies… Je frôlai ses lèvres aves les miennes le temps de quelques secondes, échangeant alors un baiser furtif. C’est d’une voix sensuel que j’ajoutai :

- Est-ce que de cette manière j’arriverais à vous soigner Monsieur Mantis…

Histoire de continuer les petits jeux je l’appelais ainsi. Comme s’il était mon patient. Ce dernier et le barman passaient leurs temps à se chamailler. Mais leurs chamailleries m’amusaient. Je les observai d’un air amusé, on voit que le barman a souvent été témoin de ses soirées souvent bien arrosée. Je rigolais de voir que dès qu’il le pouvait, Gustave ne se gênait pas pour lui rappelé à la première occasion tout ce qu’il avait fait comme c*nnerie dans son lieu de travail. La gêne de Larry était très drôle surtout quand il lui a ordonné de se la fermer. Tout cela me fait rire… La nature humaine est tellement drôle. Surtout quand cette nature est faussée par l’alcool. Une fois avoir fait taire l’homme du bar, Larry me demanda pourquoi j’étais venue dans cette petite ville avec une gamine sur les bras et un projet aussi énorme que le mien. Je lui adressai un sourire. Comment dire…

- Le cadre de vie. Pouvoir aller au travail sans trop de déplacement. Offrir le meilleur pour ma fille. Et puis faut dire aussi que de nos jour c’est tellement dur de rentrer dans le monde du travail que lorsque j’ai été engagé pas très loin d’ici j’ai foncé. Seulement, je ne me voyais pas vivre en pleine ville avec une gamine de 9 ans sur les bras. Alors venir ici c’était le mieux… Comme ça je ne suis pas loin de mon lieu de travail et si ma fille veux aller au parc, il est pas loin, si je veux aller voir mon cheval, c’est pas loin. Et au moins, que ce soit mon chien, mon chat, mon cheval ou encore ma fille, ne vivent pas dans la pollution !  

[Encore un petit post!!! Je ne vais jamais m'en sortiiiir :'''(]

a totale abstraction… En gros, il s’en fout ! Royalement ! Mais dans ce cas pourquoi posé des questions sur mon tableau de chasse. Ce n’est pas parce que j’ai vingt-six ans et que je ne suis actuellement pas en couple que je vais devenir vieille fille entourée de nombreux animaux !  Bon d’accord, en tout j’en ai trois à la maison. Mais ça n’empêche rien ! Mon tableau de chasse depuis le père de ma fille est très long. On peut dire que je suis dans le concept de la liberté amoureuse… Du moins pour le moment. Ma relation la plus longue a été d’un peu plus d’un an avec un homme dont je n’étais pas vraiment amoureuse mais c’était fun et ça faisait du bien au moral de se sentir aimer. Après que ce soit les coups d’un soir, de quelques jours et d’une ou deux semaines… je ne sais pas si je peux les compter dans le lot… Je ne me souviens même plus de leur nom. Je sortais beaucoup en étant étudiante, c’est sans aucune gêne que j’enchaînais les conquêtes. En huit années j’ai eut le temps de m’amuser. Elèves, prof, mineurs, beaux-gosses… Tout ce qui me convenait, je les séduisais. Apparemment j’ai du charme. J’en usais et en abusais ! Maintenant je trouve que je suis un peu plus calme. Peut-être que c’est le cap des vingt cinq ans qui sait ! Pour moi, j’ai toujours dix-huit ans dans ma tête et ce n’est pas parce que j’ai un gosse à charge que ça va me changer ! J’ai pas pris un gramme de maturité sur ce sujet là quand j’ai accouché d’une gamine qui en plus de ça est précoce ! Le jour je menais la vie d’une étudiante, le soir la vie d’une maman et la nuit, la vie d’une femme.  On peut dire que j’ai littéralement ris au nez de Larry. Je croyais qu’il avait compris qui j’étais… Alors qu’en fait, toujours pas !

- Ce n’est pas parce que je n’ai personne dans ma vie que  je n’ai pas de conquête. Vous savez quand les jeunes mères comme moi voient leurs jeunesses s’envoler après leur accouchement, personnellement, ma mentalité à ce sujet est restée au stade d’une vingtaine d’année. Apparemment j’aurais un certain charme qui ne laissait pas indifférent certain. Ne vous inquiétez pas Monsieur Mantis ma vie amoureuse ou sexuelle va très bien !

Je lâchai cela assez crument mais c’était la vérité et puis avec ma voix mélodieuse et mon beau sourire, ça ne pouvais que bien passer.  Larry n’avait pas l’air bien. Il eut donc besoin de partir dans les toilettes pour « régler des machins ». Je lâchais un soupir. Je ne savais pas vraiment ce que je faisais dans ce bar en réalité avec un homme que je connais à peine avec des situations foireuses. Je lâchai un soupir. Je réfléchissais à quoi faire. Attendre ? Rester ? Partir ? A quoi bon rester. Il n’a pas vraiment l’air de souhaité un quelconque rapprochement… Des fois sous mes airs de bonne mère et de femme qui réussit dans sont travail, on ne peut pas vraiment pensé que je suis une séductrice collectionneuse d’homme… Ma rencontre de ce soir n’avait pas l’air de vouloir céder et de faire partie de mon tableau de chasse. Le barman m’adressa la phrase suivante : « Pas facile le Mantis n’est-ce-pas !? ». Je levai le regard vers lui, je ne pouvais qu’acquiescer ce qu’il venait de me dire. J’ai connu des hommes plus simples à envoûter finalement ! Enfin bon les heures filaient ici et rien n’avait l’air de vouloir se faire. Je resterais la coriace et il n’est pas question que ce soit moi qui me jette sur lui. Je résisterais jusqu’au bout même si c’est moi qui lui avait laissé un léger avant goût de ce que je pouvais lui offirir. Je cherchai dans mon sac mon porte feuille. Les deux coudes posés sur le bar je m’adressai au barman…

-Je peux vous régler s’il vous plait !

- Vous lâchez la partie mademoiselle ?

- Non c’est juste que demain j’ai une journée à assurer et il est déjà très tard.

- Carte Bleue ou Espèce ?

- Carte Bleue.

Puis j’entendis une porte située derrière moi se fermer. D’abord une présence, puis l’odeur de l’alcool et enfin le baiser sur ma joue me fit savoir que c’était Larry. Il divaguait totalement et me glissa une phrase. Cette phrase j’ai décidé de l’ignorer. Gustave me glissa le boitier de la carte bancaire sous le nez. Je cachai le clavier au cas où et réglai ma note. J’avais beaucoup trop dépensé pour juste une soirée au bar. Je devrais faire plus attention ! Beaucoup plus attention. Je repris ma carte et rendis la machine au barman en le remerciant. Je me tournai vers mon compagnon de ce soir.

-Je vous remercie pour cette soirée Monsieur Mantis. Elle m’a été très agréable.

J’ai mis mon manteau et pris mon sac en vérifiant que je n’avais rien oublié. Je regardais l’écran de mon portable, j’avais reçu un message de la mère de la petite fille chez qui Sonia était ce soir quatre heures auparavant. Elle me disait qu’elles dormaient et que tout c’était très bien passer. Je n’allais pas répondre vu l’heure qu’il était. Je suis contente de savoir que Sonia s’est faite des amies et surtout que ça se passe bien avec elle. J’ai remis mon Iphone dans mon sac et je me suis dirigée vers la sortie. Je n’allais pas rester dans ce bar mais si mon « cavalier » de ce soir souhaite me retenir encore une minute je ne suis pas contre qu’il me démontre qu’il y a peut-être moyen de quelque chose. Les actes sont toujours mieux que les simples mots…

’est avec une certaine fierté que je me dirigeais vers la sortie du bar. Pourquoi ? Parce que j’avais résisté à l’appel de l’alcool ! Mais ma carte bleue n’est pas vraiment de cet avis, parce qu’elle se sent un peu exploité. Bien évidemment je partais avec un léger goût amer. Je n’avais pas obtenu ce que je voulais et j’avais moi-même céder à la tentation mais sans rien en retour… Le dégoût m’envahissait. J’avais quelque peu enfreins mes propres principes. Ils se basent sur : la distance, la résistance, la séduction et l’incitation. Conclusion : je suis allée outre le principe de résistance ! Vous me direz surement comment on peu être résistante mais inciter aussi… En gros, par les paroles ! Le principe de la séduction permet de faire la liaison entre la résistance et l’incitation. La distance ? Elle permet de se laisser se faire désirer, ne jamais coucher le premier soir etc etc. En général il est plutôt bien respecter. Même si j’ai eut des aventures d’un soir, je ne suis jamais allée au bout du bout avec ces gars là.  Les fois où s’est arrivé, ça avait été un très mauvais coup et en plus de cela j’en étais déçue. Depuis, elle laisse souvent l’homme en haleine. Comme cela, s’il avait apprécié mes charmes et de ce que je leurs ai offert jusque là, il me rappelle et on continue notre petit bonhomme de chemin. Là est la technique de la distance histoire de se sentir désirer de plus en plus. Tout mon stratagème est très finement ficelé ! Je m’en suis assez bien débrouillé mais j’ai quand même cédé à l’encontre de l’un de ces fameux principes : la résistance ! Un tout petit baiser futile échangé pour l’attirer vers moi tel un aimant. J’ai donc mis un peu de distance entre nous deux en décidant de partir, laissant mon compagnon de soirée sur le côté.

Je venais de régler l’addition. Salée d’ailleurs. Mon manteau sur mon dos et mon sac à la main, je fis mes au-revoir à Larry, le laissant sur sa fin pour mieux le faire venir vers moi. J’avais consulté les messages sur mon portable pour voir si j’avais des nouvelles de Sonia. Et j’en avais ! Je prenais mon temps pour sortir de se bar chauffé mais aussi réchauffé par la chaleur humaine. J’avais juste remis mon portable dans mon sac que je me dirigeais d’un pas lent vers la porte. En même temps, je testais le principe de distance si bien expliqué quelques phrases auparavant… Mo intention s’est attiré par ce qui se passait derrière moi, une présence… Puis une main sur mon épaule qui me fit retourné rapidement mais aussi un peut trop violemment. Juste assez pour que je reconnaisse Larry, l’odeur de son parfum mais aussi celui de l’alcool, bien évidemment après tout ce qu’il avait consommé… Il entraîna mes lèvres dans un baiser fougueux et plein de sensualité qui fit monter mon taux d’excitation. Je me laissai aller au rythme de nos visages qui était d’une proximité encore inconnue. Mes bras se glissèrent automatiquement le long de son cou. Je ne sais combien de temps à durer se rapprochement mais il est vrai qu’en quelques minutes nous étions devenu très familier. Pour Larry, la soirée ne faisait que de commencer et il y avait un peu trop de monde  dans ce bar. Je glissai sensuellement à son oreille…

- Si je décide de faire un effort et de rester avec vous Mantis, vous faites quoi pour le problème les personnes de ce bar ?

Je continuais de jouer avec la tactilité que nous avions depuis ce baiser. Mes bras l’entourant toujours, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. J’usais de mes lèvres pulpeuses dont mon rouge à lèvre était toujours intact ! Bisous, caresses, je n’avais plus de limite à ce niveau là. Mon esprit était ailleurs et ma conscience aussi, la simple euphorie de mon esprit me faisait agir. Je voulais être de plus en plus proche, mais aussi me sentir dominante. J’avançais de plus en plus mais il était là en face, mon envie était plus forte, je lui forçai la main pour qu’il recule jusqu'à une des tables, me bloquant totalement. J’étais un peu frustrée, j’aurais préféré un mur pour un appui total. Mes jambes étaient vraiment entre les siennes. En fait, je m’en foutais des autres. Je sentais très bien les regards posés sur nous.

- Bon tu m’as dit une anecdote sur toi et ben je vais te dire quelques choses aussi… Je ne couche jamais le premier soir.  Et tu sais quoi ? Je crois que c’est mieux ainsi ! Vu ce que tu as ingérer aujourd’hui, tu ne me vomiras pas dessus n’est-ce-pas Mantis !

Je continuais de le taquiner. Ce n’était pas parce que j’avais obtenu quelque chose que je souhaitais que j’allais arrêter de jouer. Le jeu est la phase la plus agréable de la séduction…      

Avec moi, mes deux meilleurs amies. Nous avions pris le temps de nous préparer avant d’aller à la soirée d’une amie. Je n’avais pas encore seize ans mais dans quelque temps je les aurais. Nous étions à la fin du mois de juin et nous fêtions les vacances en plus de l’anniversaire de l’amie chez qui nous nous rendions. Une petite heure dans la salle de bain nous étions prêtes. J’avais maquillé mes yeux dans des tons rosé très frais avant de les soulignés d’un très d’eye liner « cat eyes ». Mes lèvres sont rose nude. J’avais bouclé mes longs cheveux qui me tombaient dans le bas de mon dos. J’ai revêtit une robe blanche avec le dos en dentelle et le décolleté quelque peu fermer par des lacets. Le reste est dans une matière très légère. Comme à mon habitude j’avais mis douze centimètres de talon. Des chaussures ouvertes dans les tons blancs magnifique. Nous sommes arrivés, il y avait de la musique et des gens qui dansaient. J’ai dit bonjours à mon amies en lui souhaitant un joyeux anniversaire. Puis je suis allé saluer d’autre personne que je connaissais de mon lycée. En m’adressant à l’un de mes camarades le plus proche, il m’a présenté un ami à lui. Il était magnifique. Très grand comme j’aime, carré des épaules, avec un corps de folie. Il était châtain foncé avec les cheveux un peu court mais avec un petit peu de longueur. Les yeux marron transcendants. Je le regardais avec un sourire en coin.


- Hey Elisa tu vas bien !
- Nickel et toi?
-Toujours en forme ! Tu crois quoi !
-Je ne crois jamais rien tu le sais très bien !
-C’est ça fait la maline ! Bon je te présente Kevin, c’est un ami de Londres. Je n’allais pas le laissé seul chez moi !
-Enchanté !


Je lui fis la bise, puis l’une de mes amies m’appela pour que je vienne danser. En effet la musique qui passait, Enamorame de Papi Sanchez était un véritable tube. Je dansais comme à mon habitude avec un déhanché plutôt aguicheur sur ce genre de musique et plus déchainée sur celle qui suit. Cette dernière est Et C’est parti de Nadiya, une véritable tuerie du moment aussi. La soirée se déroula et je passais la majeure partie de ma soirée à danser. J’ai été rejoint par le fameux Kevin qui, avec un certaine aisance s’intégra parfaitement au groupe. Au moment du titre Obsession d’Avantura, il se rapprocha un peu plus de moi jusqu’à m’offrir un verre. Verre que j’acceptai avec plaisir. Nous discutions le reste de la soirée et un rapprochement fut de rigueur. Il était tard et j’étais couchée dans l’herbe la tête sur ses genoux. Il me caressait les cheveux quand la mère de mon amie arriva pour que nous rentions. En me levant il me prit dans ses bras. Son odeur me comblait et m’envoutait.


-Tu me donnes ton numéro de portable ! On remet ça au plus vite…
Je sais pas si j’ai vraiment envie… lui dis-je avec un sourire en coin.
-De toute façon t’as pas le choix !


Cette force de caractère m’a tout de suite plu et même en essayant tant bien que mal de me faire désirer, pas moyens j’ai fini par craquer. Il me r accompagna jusqu'à mes amies et il m’embrassa pour me dire au revoir. Je ne le savais pas encore, mais notre idylle allait être passionné, pleine de sensualité, duré plus d’une année et se terminé par la parenté…

~ ~ ~ 10 ans plus tard  ~ ~ ~

arry m’avait surprise mais je ne pouvais que riposter. Plus nos corps était près plus je n’avais qu’une seule envie s’était de lui sauté dessus. Je ne dirais pas que je suis en manque parce que ça serait mentir mais quand on a quelque chose sous la main pourquoi ne pas s’en servir. En plus c’est si bien demandé de sa part … Alors que je l’avais fait reculé jusqu’à la table, ni le bruit des personnes autour de nous ni leur présence ne me gênait. Dans certain état critique d’alcoolémie critique, j’ai fait certain truc pas très catholique en publique. Nous étions dans un recoin bien évidemment mais bon… Je crois que ni pour moi ni pour le monsieur ça n’a dû être génial. Personnellement j’en ai rien à faire je ne m’en souviens à peine à cause de l’amnésie due à l’alcool. Coincé contre une table, je ne pouvais être plus proche de Larry. Il est vrai qu’il m’intriguait beaucoup mais je refuse de céder  à la tentation et au sex-apeal ! Même si ça me tentais bien et que la proposition est très intéressante. De plus, il venait de me mordiller très sensuellement ma lèvre inférieure ce qui ne faisait que monter l’euphorie qui était en moi. Nous avons fini par nous décoller quelques minutes le temps de nous contempler. J’ai réfléchi quelque minute avant de prendre ma décision. A la fac, j’avais déjà la réputation d’une p*** ce n’est pas la peine de la faire ressortir. Je sorti sensuellement le carnet que j’ai tout le temps dans mon soutien-gorge, en arachai une page avant de lui noter mon numéro… Je me raprocha à nouveau de ses lèvres et tout en l’embrassant à nouveau, je glissai mes mains sur ses fesses et lui mit mon bout de papier dans la poche arrière de son pantalon. Ma bouche proche de son oreille, je lui glissai d’une voix sensuelle…

-Je vous ai noté mon numéro. C’est quand vous voulez qu’on remet ça. Ce n’est pas parce que je ne couche pas le premier soir, que je ne couche pas le lendemain… A vous de voir. Et puis, si je n’ai pas de nouvelle, je peux toujours venir vous trouvez à la mairie car je ne vous cache pas que vous m’êtes délicieusement désirable.

J’avais toujours mes mains sur son fessier parfaitement dessiné. Suis-je le genre de fille à mater le c*l des mecs ? Carrément ! Je ne dirais pas que c’est la première chose que je regarde mais c’est un atout non négligeable. Aucun amour ne me liait à lui loin de là ! Pour moi il s’agit juste d’un flirt parmi un autre. Et si ce flirt ce révèle plutôt surprenant et plaisant, il y a peut être moyen de le prolonger… Mais pour le moment, ce n’est pas du tout le cas !

-Et puis au moins, vous serez entièrement là et entièrement prédisposez à faire ce que nous pouvons faire… Et peut être qu’il y aura moyen que nous sommes à égalité autour d’un verre de champagne vous ne pensez pas… ?

Je l’embrassai une dernière fois avec sensualité et profiter de cette terrible euphorie que j’avais. Je descendis jusqu’à son cou pour y laisser ma marque. Je lui fis un suçon à cet endroit pour que demain matin, quand il se regarda dans la glace, il se souviendra de moi. Même s’il a la gueule de bois.

-Passez une bonne fin de soirée Mantis. Ne buvez pas trop.

J’ai ramassé mon carnet que j’ai remit à sa place initiale. En glissant mes bras autour du jeune homme, j’avais lâché mon sac que je récupérai. Je vérifiai que tout y était en méfiance aux sales gosses qui traînait encore au bar. Je me suis dirigée vers la sortie et avant de pousser la porte, je me suis retournée et j’ai fait un clin d’œil aguicheur. J’ai pris la route des lotissements pour rentrés chez moi en m’éclairant grâce au flash de mon smartphone. Un fois chez moi, j’ai filé sous une bonne douche froide et je me suis glissé dans mon lit pour profiter des cinq heures de sommeil qui me reste…

//Elisa quitte le RP//

[Est-ce qu’on fait une suite ? Et si oui est-ce que l’on la commence tout de suite ?]